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Titre : On achète bien les cerveaux : la publicité et les médias Type de document : texte imprimé Auteurs : Marie Bénilde, Auteur Editeur : Paris : Raisons d'agir éd. Année de publication : 2007 Importance : 155 p. Format : 18 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-912107-31-2 Prix : 5,70-€ Langues : Français Catégories : MEDIAS: COMMUNICATION & JOURNALISME - Aspects généraux:PUBLICITE - Communication publicitaire Tags : médias publicité Index. décimale : 659.1 Publicité Résumé : Article de l'auteur, présentant l'ouvrage sur le site
http://www.agoravox.fr :
"Je suis l’auteur d’un livre dont vous n’entendrez probablement jamais parler dans vos journaux, à la télévision ou même à la radio. Son nom ? On achète bien les cerveaux (édition Raisons d’agir, 2007). Il ne s’agit pas d’un opuscule tendancieux ou d’un brûlot d’extrême gauche ou d’extrême droite. Simplement, c’est un livre qui prétend apporter une analyse critique sur un phénomène qui rythme notre quotidien : l’omniprésence massive de la publicité et ses conséquences sur les médias. Le titre fait bien sûr référence à la phrase prononcée en 2004 par Patrick Le Lay, le PDG de TF1, sur le « temps de cerveau humain disponible » que le patron de la chaîne s’enorgueillit de vendre à Coca-Cola. Je suis allée enquêter dans le cœur même de la machinerie publicitaire de la Une. Et ce dont je me suis aperçue, c’est que la commercialisation du cerveau du téléspectateur n’est pas un phantasme ou un abus de langage. C’est le reflet de la plus stricte vérité si l’on en croit les propos de neurologues qui travaillent aujourd’hui pour les principaux médias, dont TF1, sur l’impact de la publicité dans la mémoire.
Le temps n’est plus où l’on se contentait de tests et de post-tests pour prouver l’efficacité des messages publicitaires. Face à des nouveaux médias comme Google ou Yahoo, qui proposent à l’annonceur de payer pour chaque contact transformé en trafic et de suivre le client à la trace, les grands médias cherchent à montrer qu’ils arrivent à pénétrer l’inconscient des consommateurs. A l’instar des grands annonceurs américains, ils ont confié à une société spécialiste des sciences cognitives, Impact Mémoire, le soin d’explorer ce que le cerveau retient dans la communication publicitaire. Pour cela, les « neuromarketers » ont recours à une machine uniquement utilisée jusqu’à présent à des fins médicales, pour détecter les tumeurs par exemple : l’imagerie à résonance magnétique (IRM). Que disent les expériences menées en laboratoires ? Que la zone du cerveau réactive aux images publicitaires, le cortex prefrontal médian, est associée à l’image de soi et à la connaissance intime qu’on a de soi-même (c’est la région cérébrale qui est affectée lorsqu’il y a des troubles de schizophrénie par exemple). En activant le cortex prefrontal médian, les neuromarketers cherchent donc à réussir l’alchimie parfaite : l’opération qui consiste à transformer tout amour de soi en tant que soi - le narcissisme - en amour de soi en tant qu’autre - une cible publicitaire. La publicité vise donc à nous rendre en quelque sorte étrangers à nous-mêmes pour modeler en nous des comportements normatifs qui épousent les intérêts des firmes commerciales.
On le sait depuis Jean Baudrillard et John Kenneth Galbraith, la société de consommation ne peut exister sans son corollaire publicitaire. Car seule la publicité crée dans les têtes une urgence fantasmatique et pavlovienne sans laquelle il n’est pas de tension consumériste : c’est parce que je suis sans cesse sollicité par un univers euphorisant, rempli de symboles de bonheur, que je tends vers la jouissance de l’acquisition matérielle. De cette tension naît un désir structurant dans la mesure où il permet à l’individu d’exister en tant qu’homo consumans. Adhérer aux valeurs de l’imagerie publicitaire - « On vous doit plus que la lumière », « Vous n’irez plus chez nous par hasard », « Parce que je le vaux bien » -, c’est communier aux nouvelles icônes des temps modernes. Il s’agit de prendre corps dans l’espace collectif, de se transfigurer dans une identité à la fois plurielle et, puisqu’elle s’adresse à moi en tant que cible, singulière. L’essayiste François Brune parle d’une « volonté de saisie intégrale de l’individu dans ce qu’il a d’anonyme ». D’où un principe clé de la domestication des esprits : chacun cherche à se ressembler en tant que tribu consommatrice. C’est en effet parce que je renonce à mon appartenance à une identité universelle pour m’inscrire dans une fonctionnalité « tribalisée » que j’abdique de ma citoyenneté au profit d’un label de consommateur tel que l’entend l’ordre marchand. Ce faisant, la publicité permet la mutation d’une société de classes vers autant de cibles qu’il y a d’intérêts et de positions économiques à défendre. Elle vise la reproduction et la permanence de stéréotypes inhérents à tout message établi en fonction d’un statut supposé sur l’échelle sociale.
Seulement, puis-je réellement me retrouver dans cette incessante musique d’ambiance que je n’ai pas sollicitée ? Comme l’a montré Bernard Stiegler dans De la misère symbolique (éditions Galilée, 2004), « on ne peut s’aimer soi-même qu’à partir du savoir intime que l’on a de sa propre singularité ». Or les techniques marketing, parce qu’elles me donnent à entendre et à voir des sons et des images identiques à celles de mon voisin, me construisent une histoire qui est semblable à celle de mes congénères. Comme tel, c’est bien à un effondrement de la conscience individuelle et à une dissolution du désir que nous conduit l’idéologie publicitaire : « Mon passé étant de moins en moins différent de celui des autres parce que mon passé se constitue de plus en plus dans les images et les sons que les médias déversent dans ma conscience, mais aussi dans les objets et les rapports aux objets que ces images me conduisent à consommer, il perd sa singularité, c’est-à-dire que je me perds comme singularité ».( De la misère symbolique, op. cit. p. 26). Selon Bernard Stiegler, le règne hégémonique du marché entraîne inexorablement la ruine d’un « narcissisme primordial » en ce sens qu’il induit un « conditionnement esthétique » qui est aussi une « misère libidinale et affective ». En s’identifiant à la cible publicitaire à laquelle il est supposé appartenir, le consommateur consent par là même à la dissolution de son désir individuel dans un « nous » artificiel créé pour les besoins d’édification du marché des classes dominantes.
De ce conditionnement va naître une nouvelle socialité phantasmatique qui amène le consommateur à se sentir déterminé beaucoup moins par son groupe de classe, son origine sociale, que par des aspirations collectives véhiculées par les médias. Ce n’est d’ailleurs pas tant des emblèmes statutaires que cherche à promouvoir la publicité que des rapports imaginaires qui permettent à l’individu d’exister virtuellement dans le regard de ses contemporains. Tout est prétendument accessible, y compris le luxe, puisque je ne suis plus prisonnier de mon statut mais libéré par ma consommation. A la vieille division archaïque entre dominants et dominés doivent venir se substituer des communautés de désirs susceptibles de reconstruire un « nous entièrement fabriqué par le produit ou le service » comme dit Stiegler.
L’ homo economicus est en quelque sorte consommé par ce qu’il consomme. Il se jette à corps perdu dans l’addiction consumériste, non pas tant dans une course éperdue à l’avoir, comme on le croit souvent, mais pour être. Car le bonheur publicitaire apporte une forme de plénitude fugace dans une société privée de repères politiques et esthétiques. Après la fin proclamée des idéologies et l’avènement d’une classe moyenne de plus en plus compromise par des tensions inégalitaires, il structure notre être de façon rituelle en permettant la transfiguration d’un « je » devenu anarchique, incontrôlé, en un « nous -cible » standardisé et resocialisé.
Créée en 1836 pour aider les journaux à mieux se vendre aux masses populaires, la publicité s’impose aujourd’hui comme le mode de financement principal, voire exclusif, des médias à l’ère numérique. Le consommateur accepte avec insouciance cette manne providentielle qui lui permet d’accéder à des contenus. Mais en connaît-il vraiment le prix ? Information altérée au profit d’intérêts économiques, positionnements éditoriaux déterminés par les perspectives de recettes des annonceurs, campagnes véhiculant des stéréotypes sociaux... Parce qu’elle structure de façon incontestée notre inconscient collectif, la publicité est devenue un vecteur non plus seulement de revenus mais de sens... Les médias tendent à se transformer en zélés prédateurs d’une clientèle-proie pour le compte de leurs principaux clients. Des neurosciences au travestissement des contenus, tout est mis en place pour parvenir à cet objectif. Ce livre se propose d’étudier comment l’instrument économique d’une démocratisation de l’information s’est peu à peu mué en outil politique d’une domination économique."
Note de contenu : Table des matières :
Introduction
1. Des cerveaux disponibles
2. L'idéologie publicitaire
3. Publicité et médias : les intérêts croisés
4. L'altération de l'information
5. "La grande pub n'est plus de saison" - Un début de désaveu
6. La récupération, arme publicitaire
Conclusion
Annexes
Notes
BibliographieEn ligne : http://www.raisonsdagir.org/ On achète bien les cerveaux : la publicité et les médias [texte imprimé] / Marie Bénilde, Auteur . - Paris : Raisons d'agir éd., 2007 . - 155 p. ; 18 cm.
ISBN : 978-2-912107-31-2 : 5,70-€
Langues : Français
Catégories : MEDIAS: COMMUNICATION & JOURNALISME - Aspects généraux:PUBLICITE - Communication publicitaire Tags : médias publicité Index. décimale : 659.1 Publicité Résumé : Article de l'auteur, présentant l'ouvrage sur le site
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"Je suis l’auteur d’un livre dont vous n’entendrez probablement jamais parler dans vos journaux, à la télévision ou même à la radio. Son nom ? On achète bien les cerveaux (édition Raisons d’agir, 2007). Il ne s’agit pas d’un opuscule tendancieux ou d’un brûlot d’extrême gauche ou d’extrême droite. Simplement, c’est un livre qui prétend apporter une analyse critique sur un phénomène qui rythme notre quotidien : l’omniprésence massive de la publicité et ses conséquences sur les médias. Le titre fait bien sûr référence à la phrase prononcée en 2004 par Patrick Le Lay, le PDG de TF1, sur le « temps de cerveau humain disponible » que le patron de la chaîne s’enorgueillit de vendre à Coca-Cola. Je suis allée enquêter dans le cœur même de la machinerie publicitaire de la Une. Et ce dont je me suis aperçue, c’est que la commercialisation du cerveau du téléspectateur n’est pas un phantasme ou un abus de langage. C’est le reflet de la plus stricte vérité si l’on en croit les propos de neurologues qui travaillent aujourd’hui pour les principaux médias, dont TF1, sur l’impact de la publicité dans la mémoire.
Le temps n’est plus où l’on se contentait de tests et de post-tests pour prouver l’efficacité des messages publicitaires. Face à des nouveaux médias comme Google ou Yahoo, qui proposent à l’annonceur de payer pour chaque contact transformé en trafic et de suivre le client à la trace, les grands médias cherchent à montrer qu’ils arrivent à pénétrer l’inconscient des consommateurs. A l’instar des grands annonceurs américains, ils ont confié à une société spécialiste des sciences cognitives, Impact Mémoire, le soin d’explorer ce que le cerveau retient dans la communication publicitaire. Pour cela, les « neuromarketers » ont recours à une machine uniquement utilisée jusqu’à présent à des fins médicales, pour détecter les tumeurs par exemple : l’imagerie à résonance magnétique (IRM). Que disent les expériences menées en laboratoires ? Que la zone du cerveau réactive aux images publicitaires, le cortex prefrontal médian, est associée à l’image de soi et à la connaissance intime qu’on a de soi-même (c’est la région cérébrale qui est affectée lorsqu’il y a des troubles de schizophrénie par exemple). En activant le cortex prefrontal médian, les neuromarketers cherchent donc à réussir l’alchimie parfaite : l’opération qui consiste à transformer tout amour de soi en tant que soi - le narcissisme - en amour de soi en tant qu’autre - une cible publicitaire. La publicité vise donc à nous rendre en quelque sorte étrangers à nous-mêmes pour modeler en nous des comportements normatifs qui épousent les intérêts des firmes commerciales.
On le sait depuis Jean Baudrillard et John Kenneth Galbraith, la société de consommation ne peut exister sans son corollaire publicitaire. Car seule la publicité crée dans les têtes une urgence fantasmatique et pavlovienne sans laquelle il n’est pas de tension consumériste : c’est parce que je suis sans cesse sollicité par un univers euphorisant, rempli de symboles de bonheur, que je tends vers la jouissance de l’acquisition matérielle. De cette tension naît un désir structurant dans la mesure où il permet à l’individu d’exister en tant qu’homo consumans. Adhérer aux valeurs de l’imagerie publicitaire - « On vous doit plus que la lumière », « Vous n’irez plus chez nous par hasard », « Parce que je le vaux bien » -, c’est communier aux nouvelles icônes des temps modernes. Il s’agit de prendre corps dans l’espace collectif, de se transfigurer dans une identité à la fois plurielle et, puisqu’elle s’adresse à moi en tant que cible, singulière. L’essayiste François Brune parle d’une « volonté de saisie intégrale de l’individu dans ce qu’il a d’anonyme ». D’où un principe clé de la domestication des esprits : chacun cherche à se ressembler en tant que tribu consommatrice. C’est en effet parce que je renonce à mon appartenance à une identité universelle pour m’inscrire dans une fonctionnalité « tribalisée » que j’abdique de ma citoyenneté au profit d’un label de consommateur tel que l’entend l’ordre marchand. Ce faisant, la publicité permet la mutation d’une société de classes vers autant de cibles qu’il y a d’intérêts et de positions économiques à défendre. Elle vise la reproduction et la permanence de stéréotypes inhérents à tout message établi en fonction d’un statut supposé sur l’échelle sociale.
Seulement, puis-je réellement me retrouver dans cette incessante musique d’ambiance que je n’ai pas sollicitée ? Comme l’a montré Bernard Stiegler dans De la misère symbolique (éditions Galilée, 2004), « on ne peut s’aimer soi-même qu’à partir du savoir intime que l’on a de sa propre singularité ». Or les techniques marketing, parce qu’elles me donnent à entendre et à voir des sons et des images identiques à celles de mon voisin, me construisent une histoire qui est semblable à celle de mes congénères. Comme tel, c’est bien à un effondrement de la conscience individuelle et à une dissolution du désir que nous conduit l’idéologie publicitaire : « Mon passé étant de moins en moins différent de celui des autres parce que mon passé se constitue de plus en plus dans les images et les sons que les médias déversent dans ma conscience, mais aussi dans les objets et les rapports aux objets que ces images me conduisent à consommer, il perd sa singularité, c’est-à-dire que je me perds comme singularité ».( De la misère symbolique, op. cit. p. 26). Selon Bernard Stiegler, le règne hégémonique du marché entraîne inexorablement la ruine d’un « narcissisme primordial » en ce sens qu’il induit un « conditionnement esthétique » qui est aussi une « misère libidinale et affective ». En s’identifiant à la cible publicitaire à laquelle il est supposé appartenir, le consommateur consent par là même à la dissolution de son désir individuel dans un « nous » artificiel créé pour les besoins d’édification du marché des classes dominantes.
De ce conditionnement va naître une nouvelle socialité phantasmatique qui amène le consommateur à se sentir déterminé beaucoup moins par son groupe de classe, son origine sociale, que par des aspirations collectives véhiculées par les médias. Ce n’est d’ailleurs pas tant des emblèmes statutaires que cherche à promouvoir la publicité que des rapports imaginaires qui permettent à l’individu d’exister virtuellement dans le regard de ses contemporains. Tout est prétendument accessible, y compris le luxe, puisque je ne suis plus prisonnier de mon statut mais libéré par ma consommation. A la vieille division archaïque entre dominants et dominés doivent venir se substituer des communautés de désirs susceptibles de reconstruire un « nous entièrement fabriqué par le produit ou le service » comme dit Stiegler.
L’ homo economicus est en quelque sorte consommé par ce qu’il consomme. Il se jette à corps perdu dans l’addiction consumériste, non pas tant dans une course éperdue à l’avoir, comme on le croit souvent, mais pour être. Car le bonheur publicitaire apporte une forme de plénitude fugace dans une société privée de repères politiques et esthétiques. Après la fin proclamée des idéologies et l’avènement d’une classe moyenne de plus en plus compromise par des tensions inégalitaires, il structure notre être de façon rituelle en permettant la transfiguration d’un « je » devenu anarchique, incontrôlé, en un « nous -cible » standardisé et resocialisé.
Créée en 1836 pour aider les journaux à mieux se vendre aux masses populaires, la publicité s’impose aujourd’hui comme le mode de financement principal, voire exclusif, des médias à l’ère numérique. Le consommateur accepte avec insouciance cette manne providentielle qui lui permet d’accéder à des contenus. Mais en connaît-il vraiment le prix ? Information altérée au profit d’intérêts économiques, positionnements éditoriaux déterminés par les perspectives de recettes des annonceurs, campagnes véhiculant des stéréotypes sociaux... Parce qu’elle structure de façon incontestée notre inconscient collectif, la publicité est devenue un vecteur non plus seulement de revenus mais de sens... Les médias tendent à se transformer en zélés prédateurs d’une clientèle-proie pour le compte de leurs principaux clients. Des neurosciences au travestissement des contenus, tout est mis en place pour parvenir à cet objectif. Ce livre se propose d’étudier comment l’instrument économique d’une démocratisation de l’information s’est peu à peu mué en outil politique d’une domination économique."
Note de contenu : Table des matières :
Introduction
1. Des cerveaux disponibles
2. L'idéologie publicitaire
3. Publicité et médias : les intérêts croisés
4. L'altération de l'information
5. "La grande pub n'est plus de saison" - Un début de désaveu
6. La récupération, arme publicitaire
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BibliographieEn ligne : http://www.raisonsdagir.org/ Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 1000979 725 BEN ONA Livre Bibliothèque Documentaires Sorti jusqu'au 11/04/2021 Les pratiques publicitaires à la télévision : Quelques questions / Communauté Française Wallonie Bruxelles
Titre : Les pratiques publicitaires à la télévision : Quelques questions Type de document : texte imprimé Auteurs : Communauté Française Wallonie Bruxelles, Auteur ; Eric Franssen, Compilateur ; Henry Ingberg, Editeur scientifique Editeur : Bruxelles [Belgique] : Ministère de la Communauté française Année de publication : 2005 ? Importance : 152 p. Format : 10,5 cm Note générale : nombreux collaborateurs Langues : Français Catégories : MEDIAS: COMMUNICATION & JOURNALISME - Aspects généraux:PUBLICITE - Communication publicitaire
MEDIAS:AUDIOVISUEL: TELEVISION: Programmes / Contenu: publicitéTags : Belgique télévision publicité CSA TVSF protection des mineurs éducation aux médias régulation Index. décimale : 659.1 Publicité Résumé : "Depuis quelques années déjà, la Communauté française s'est intéressée de près à la question de la violence dans les programmes de fiction - à la télévision comme au cinéma - ainsi que dans ceux qui relèvent de l'information télévisée.
Bien entendu, la communication commerciale est omniprésente dans la vie des hommes et des femmes de notre Communauté.(...)
En Belgique, sur l'ensemble des plaintes enregistrées par le Conseil supérieur de l'audiovisuel, la moitié environ concerne les messages publicitaires. (...)
Un autre élément doit retenir notre attention. En Europe, comme partout ailleurs, la télévision est largement, et de plus en plus, financée par la poblicité. Une source de financement unique pour les télévisions privées et partielle pour la plupart des télévisions publiques.
Les pouvoirs publics doivent à l'évidence tenir compte du poids du marché publicitaire dans le développement du marché audiovisuel - à la fois privé et public - mais aussi dans l'économie générale du pays. (...)
C'est forte de ce savoir et consciente de ces enjeux que la Communauté française participe aujourd'hui activement à la révision de la directive européenne Télévision sans frontière.
A l'heure où les dispositions en gestation dans ce nouveau projet de directive pourraient entraîner des changements significatifs pour notre paysage audiovisuel, les réflexions qui vont suivre doivent en effet nous guider dans notre action en matière de réglementation publicitaire".
Fadila Laanan,
ministre de la Culture, de l'Audiovisuel et de la JeunesseEn ligne : http://www.cfwb.be/av/ Les pratiques publicitaires à la télévision : Quelques questions [texte imprimé] / Communauté Française Wallonie Bruxelles, Auteur ; Eric Franssen, Compilateur ; Henry Ingberg, Editeur scientifique . - Bruxelles (44 Boulevard Léopold II, 1080, Belgique) : Ministère de la Communauté française, 2005 ? . - 152 p. ; 10,5 cm.
nombreux collaborateurs
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MEDIAS:AUDIOVISUEL: TELEVISION: Programmes / Contenu: publicitéTags : Belgique télévision publicité CSA TVSF protection des mineurs éducation aux médias régulation Index. décimale : 659.1 Publicité Résumé : "Depuis quelques années déjà, la Communauté française s'est intéressée de près à la question de la violence dans les programmes de fiction - à la télévision comme au cinéma - ainsi que dans ceux qui relèvent de l'information télévisée.
Bien entendu, la communication commerciale est omniprésente dans la vie des hommes et des femmes de notre Communauté.(...)
En Belgique, sur l'ensemble des plaintes enregistrées par le Conseil supérieur de l'audiovisuel, la moitié environ concerne les messages publicitaires. (...)
Un autre élément doit retenir notre attention. En Europe, comme partout ailleurs, la télévision est largement, et de plus en plus, financée par la poblicité. Une source de financement unique pour les télévisions privées et partielle pour la plupart des télévisions publiques.
Les pouvoirs publics doivent à l'évidence tenir compte du poids du marché publicitaire dans le développement du marché audiovisuel - à la fois privé et public - mais aussi dans l'économie générale du pays. (...)
C'est forte de ce savoir et consciente de ces enjeux que la Communauté française participe aujourd'hui activement à la révision de la directive européenne Télévision sans frontière.
A l'heure où les dispositions en gestation dans ce nouveau projet de directive pourraient entraîner des changements significatifs pour notre paysage audiovisuel, les réflexions qui vont suivre doivent en effet nous guider dans notre action en matière de réglementation publicitaire".
Fadila Laanan,
ministre de la Culture, de l'Audiovisuel et de la JeunesseEn ligne : http://www.cfwb.be/av/ Réservation
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Titre : Les publicitaires savent pourquoi Type de document : texte imprimé Auteurs : Patrick Verniers, Auteur Editeur : Bruxelles [Belgique] : Média Animation Année de publication : 2006 Collection : Les dossiers de l'éducation aux médias num. 3 Importance : 50 p. Format : 29,5cm Note générale : Voir page 46 : rôle de régulation du Collège d'avis du CSA Langues : Français Catégories : AUTRES
MEDIAS: COMMUNICATION & JOURNALISME - Aspects généraux:PUBLICITE - Communication publicitaireTags : jeunes publicité éthique protection des mineurs CSA Index. décimale : 659.1 Publicité Résumé : LES JEUNES, CIBLES DES PUBLICITES POUR L'ALCOOL
Le premier contact de l'enfant avec l'alcool s'effectue généralement en famille. C'est le doigt dans le verre de maman, le premier verre à l'occasion d'une fête.
Le groupe des copains de l'école, les mouvements de jeunesse, le club sportif, l'enseignement supérieur prennent ensuite le relais. Les jeunes boivent pour faire comme les autres, faire la fête et bien rigoler, se changer les idées, se détendre, être moins timides et, pour certains, dépasser leurs limites.
A y regarder de plus près, on observe deux nouvelles tendances. Le rajeunissement de la consommation et l'augmentation du "binge drinking" : boire pour boire dans le but d'atteindre l'ivresse. Les stratégies marketing des alcooliers, visant spécifiquement les jeunes, contribuent largement à ces évolutions.(...) En témoigne le nombre impressionnant de blogs mettant en scène des jeunes ivres.
Le secteur éducatif tente de promouvoir une consommation responsable et moins risquée, sans diaboliser, ni banaliser la consommation d'alcool. Cependant, pour comprendre, et essayer de freiner ces évolutions, il apparaît également nécessaire de jeter un coup de projecteurs sur les producteurs pour mettre en lumière leurs stratégies publicitaires et commerciales, et porter un regard critique sur celles-ci. Tout en rappelant que le secteur des alcooliers a des responsabilités à prendre."
(Introduction)Note de contenu : Table des matières
LES JEUNES, AVENIR DES ALCOOLIERS?
- La publicité: un cocktail aux mille recetes
- Le marketing nous tourne-t-il en barrique?
PAS DE FETE SANS PUB?
- L'alcool a bonne presse
- Y a-t-il des enfants dans la salle?
- Ricard nous ensoleille
- Sobres, les sites web des alcooliers?
- Et glou et glou et blog
- Quand la prévention part en campagne
- Quelques campagnes à la loupe
Les publicitaires savent pourquoi [texte imprimé] / Patrick Verniers, Auteur . - Bruxelles (32 Avenue Rogier, 1030, Belgique) : Média Animation, 2006 . - 50 p. ; 29,5cm. - (Les dossiers de l'éducation aux médias; 3) .
Voir page 46 : rôle de régulation du Collège d'avis du CSA
Langues : Français
Catégories : AUTRES
MEDIAS: COMMUNICATION & JOURNALISME - Aspects généraux:PUBLICITE - Communication publicitaireTags : jeunes publicité éthique protection des mineurs CSA Index. décimale : 659.1 Publicité Résumé : LES JEUNES, CIBLES DES PUBLICITES POUR L'ALCOOL
Le premier contact de l'enfant avec l'alcool s'effectue généralement en famille. C'est le doigt dans le verre de maman, le premier verre à l'occasion d'une fête.
Le groupe des copains de l'école, les mouvements de jeunesse, le club sportif, l'enseignement supérieur prennent ensuite le relais. Les jeunes boivent pour faire comme les autres, faire la fête et bien rigoler, se changer les idées, se détendre, être moins timides et, pour certains, dépasser leurs limites.
A y regarder de plus près, on observe deux nouvelles tendances. Le rajeunissement de la consommation et l'augmentation du "binge drinking" : boire pour boire dans le but d'atteindre l'ivresse. Les stratégies marketing des alcooliers, visant spécifiquement les jeunes, contribuent largement à ces évolutions.(...) En témoigne le nombre impressionnant de blogs mettant en scène des jeunes ivres.
Le secteur éducatif tente de promouvoir une consommation responsable et moins risquée, sans diaboliser, ni banaliser la consommation d'alcool. Cependant, pour comprendre, et essayer de freiner ces évolutions, il apparaît également nécessaire de jeter un coup de projecteurs sur les producteurs pour mettre en lumière leurs stratégies publicitaires et commerciales, et porter un regard critique sur celles-ci. Tout en rappelant que le secteur des alcooliers a des responsabilités à prendre."
(Introduction)Note de contenu : Table des matières
LES JEUNES, AVENIR DES ALCOOLIERS?
- La publicité: un cocktail aux mille recetes
- Le marketing nous tourne-t-il en barrique?
PAS DE FETE SANS PUB?
- L'alcool a bonne presse
- Y a-t-il des enfants dans la salle?
- Ricard nous ensoleille
- Sobres, les sites web des alcooliers?
- Et glou et glou et blog
- Quand la prévention part en campagne
- Quelques campagnes à la loupe
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Titre : Les publicitaires savent pourquoi Type de document : texte imprimé Auteurs : Paul de Theux, Editeur scientifique Mention d'édition : 2ème éd. Editeur : Bruxelles [Belgique] : Média Animation Année de publication : 2013 Collection : Les dossiers de l'éducation aux médias num. 3 Importance : 50 p. Format : 29,5cm Langues : Français Catégories : MEDIAS: COMMUNICATION & JOURNALISME - Aspects généraux:PUBLICITE - Communication publicitaire Tags : jeunes publicité éthique protection des mineurs CSA Index. décimale : 659.1 Publicité Résumé : "Deux nouvelles tendances marquent les relations entre les jeunes et l’alcool : un rajeunissement de la consommation et l’augmentation du "binge drinking" qui consiste à boire beaucoup en peu de temps pour atteindre l’ivresse. Les stratégies marketing et publicitaires des alcooliers ne sont pas pour rien dans cette évolution. C’est pourquoi ce dossier veut les mettre en lumière et d’aiguiser le regard critique des jeunes consommateurs."
Source : http://www.media-animation.be/Les-publicitaires-savent-pourquoi,196.html (consulté le 03/04/2013)Note de contenu : Sommaire
- La publicité : un coktail aux mille recettes
- Le marketing nous tourne-t-il en barrique ?
- L’alcool a bonne presse
- Y a-t-il des enfants dans la salle ?
- Ricard nous ensoleille
- Sobres, les sites web des alcooliers ?
- Et glou, et glou et blog
- Quand la prévention part en campagne
- Quelques campagnes à la loupe
- Leur savoir s’autorégule-t-il avec sagesse ?
- La publicité pour l’alcool en Communauté françaiseEn ligne : http://www.media-animation.be/Les-publicitaires-savent-pourquoi,196.html Les publicitaires savent pourquoi [texte imprimé] / Paul de Theux, Editeur scientifique . - 2ème éd. . - Bruxelles (32 Avenue Rogier, 1030, Belgique) : Média Animation, 2013 . - 50 p. ; 29,5cm. - (Les dossiers de l'éducation aux médias; 3) .
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Catégories : MEDIAS: COMMUNICATION & JOURNALISME - Aspects généraux:PUBLICITE - Communication publicitaire Tags : jeunes publicité éthique protection des mineurs CSA Index. décimale : 659.1 Publicité Résumé : "Deux nouvelles tendances marquent les relations entre les jeunes et l’alcool : un rajeunissement de la consommation et l’augmentation du "binge drinking" qui consiste à boire beaucoup en peu de temps pour atteindre l’ivresse. Les stratégies marketing et publicitaires des alcooliers ne sont pas pour rien dans cette évolution. C’est pourquoi ce dossier veut les mettre en lumière et d’aiguiser le regard critique des jeunes consommateurs."
Source : http://www.media-animation.be/Les-publicitaires-savent-pourquoi,196.html (consulté le 03/04/2013)Note de contenu : Sommaire
- La publicité : un coktail aux mille recettes
- Le marketing nous tourne-t-il en barrique ?
- L’alcool a bonne presse
- Y a-t-il des enfants dans la salle ?
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- Sobres, les sites web des alcooliers ?
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- Quand la prévention part en campagne
- Quelques campagnes à la loupe
- Leur savoir s’autorégule-t-il avec sagesse ?
- La publicité pour l’alcool en Communauté françaiseEn ligne : http://www.media-animation.be/Les-publicitaires-savent-pourquoi,196.html Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 1003749 725 THE PUB Périodique Bibliothèque Documentaires Disponible La publicité est dans le film : Placement de produits et stratégie de marque au cinéma, dans les chansons, dans les jeux vidéo ... / Jean-Marc Lehu
Titre : La publicité est dans le film : Placement de produits et stratégie de marque au cinéma, dans les chansons, dans les jeux vidéo ... Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Marc Lehu, Auteur ; Christian Polge, Préfacier, etc. Editeur : Paris - Cedex 05 : Eyrolles - Editions d'Organisation Année de publication : 2007 Importance : 318 p. Format : 22,5 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7081-3643-4 Prix : 27,-€ Langues : Français Catégories : MEDIAS: COMMUNICATION & JOURNALISME - Aspects généraux:PUBLICITE - Communication publicitaire Tags : publicité communication placement de produit médias Index. décimale : 659.1 Publicité Résumé : Présentation par l'éditeur (4ème p. couverture):
"Invasion de la publicité dans l'univers culturel ou synergies réelles ?
Les films sont devenus une vitrine majeure pour montrer ses produits ou sa marque. Ce livre fait le point sur cette pratique qui révolutionne le travail des annonceurs et des producteurs.
Il n'est plus un film où l'on ne voit apparaître à l'écran une marque ou un produit clairement identifiable (voiture, téléphone portable, lunettes de soleil, compagnie aérienne, montre, ordinateur, alcool, chaîne de magasins...). Le phénomène touche aussi les chansons, les jeux vidéo, les romans...
Ce livre est le fruit d'une vaste enquête sur les pratiques actuelles de placement de produits ou de marques, en Europe et aux États-Unis. Il répond aux questions que se posent les annonceurs ainsi que les professionnels de la publicité et de la culture :
Quelles solutions le placement de produits apporte-t-il à la fragmentation et à l'érosion de l'audience ?
Comment faire pour que le placement profite aussi bien à 'annonceur qu'au producteur et au créateur ?
Quelles précautions contractuelles faut-il prendre ?
Quelles questions doit-on se poser en amont pour intégrer efficacement sa marque ou ses produits dans l'univers culturel ? "
Note de contenu : Grands titres du sommaire :
Préface - Lumière !!!
Introduction
Origines et raisons du placement de produits
Atouts et modalités d'utilisation du placement de produits
Le divertissement de marques sous toutes ses formes
L'intégration de marques
Conclusion
Annexe 1 : exemples récents de marques de boissons alcoolisées ayant bénéficié d'un placement
Annexe 2 : communiqué de presse officiel original d'Universal Studios pour la campagne promotionnelle accompagnant la sortie du film King Kong (2005) de Peter Jackson
Index des noms de marques et de supports de placement
Index des personnalités
Index des notions
En ligne : http://www.eyrolles.com/ La publicité est dans le film : Placement de produits et stratégie de marque au cinéma, dans les chansons, dans les jeux vidéo ... [texte imprimé] / Jean-Marc Lehu, Auteur ; Christian Polge, Préfacier, etc. . - Paris - Cedex 05 (61 Boulevard Saint-Germain, 75240) : Eyrolles - Editions d'Organisation, 2007 . - 318 p. ; 22,5 cm.
ISBN : 978-2-7081-3643-4 : 27,-€
Langues : Français
Catégories : MEDIAS: COMMUNICATION & JOURNALISME - Aspects généraux:PUBLICITE - Communication publicitaire Tags : publicité communication placement de produit médias Index. décimale : 659.1 Publicité Résumé : Présentation par l'éditeur (4ème p. couverture):
"Invasion de la publicité dans l'univers culturel ou synergies réelles ?
Les films sont devenus une vitrine majeure pour montrer ses produits ou sa marque. Ce livre fait le point sur cette pratique qui révolutionne le travail des annonceurs et des producteurs.
Il n'est plus un film où l'on ne voit apparaître à l'écran une marque ou un produit clairement identifiable (voiture, téléphone portable, lunettes de soleil, compagnie aérienne, montre, ordinateur, alcool, chaîne de magasins...). Le phénomène touche aussi les chansons, les jeux vidéo, les romans...
Ce livre est le fruit d'une vaste enquête sur les pratiques actuelles de placement de produits ou de marques, en Europe et aux États-Unis. Il répond aux questions que se posent les annonceurs ainsi que les professionnels de la publicité et de la culture :
Quelles solutions le placement de produits apporte-t-il à la fragmentation et à l'érosion de l'audience ?
Comment faire pour que le placement profite aussi bien à 'annonceur qu'au producteur et au créateur ?
Quelles précautions contractuelles faut-il prendre ?
Quelles questions doit-on se poser en amont pour intégrer efficacement sa marque ou ses produits dans l'univers culturel ? "
Note de contenu : Grands titres du sommaire :
Préface - Lumière !!!
Introduction
Origines et raisons du placement de produits
Atouts et modalités d'utilisation du placement de produits
Le divertissement de marques sous toutes ses formes
L'intégration de marques
Conclusion
Annexe 1 : exemples récents de marques de boissons alcoolisées ayant bénéficié d'un placement
Annexe 2 : communiqué de presse officiel original d'Universal Studios pour la campagne promotionnelle accompagnant la sortie du film King Kong (2005) de Peter Jackson
Index des noms de marques et de supports de placement
Index des personnalités
Index des notions
En ligne : http://www.eyrolles.com/ Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 1001782 725 LEH PUB Livre Bibliothèque Documentaires Disponible PermalinkRecommandation de l'Autorité de Régulation Professionnelle de la Publicité (ARPP) concernant les comportements alimentaires (V2) / Autorité de Régulation Professionnelle de la Publicité (Paris)
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