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RTBF - 07/07/06 - 9h35 - Vivacité - Funny Games - Promotion du film / CSA (Bruxelles, Belgique)
Titre : RTBF - 07/07/06 - 9h35 - Vivacité - Funny Games - Promotion du film Type de document : enregistrement sonore non musical Auteurs : CSA (Bruxelles, Belgique) , Auteur Editeur : Bruxelles : RTBF - Vivacité Année de publication : 2006 Format : CD-Audio INS 11-2006 Accompagnement : pochette VIDE Note générale : 85-06 ; CSS Langues : Français Catégories : DOCUMENTATION CSA :Documentation audiovisuelle:Doc. audiovisuelle Instruction Tags : RTBF instruction télévision protection des mineurs violence Index. décimale : 303.62 Violence Résumé : Plainte : "Je suis très choqué qu'on fasse ainsi l'apologie et la publicité de la violence"
En procédant à l'audition du programme de Vivacité du 7 juillet 2006 de 9H30 à 10h00, le Secrétariat d'instruction n'a identifié aucun spot de promotion pour le film "Funny Games".
Il a donc décidé de procéder au classement sans suite du dossier.RTBF - 07/07/06 - 9h35 - Vivacité - Funny Games - Promotion du film [enregistrement sonore non musical] / CSA (Bruxelles, Belgique) , Auteur . - Bruxelles : RTBF - Vivacité, 2006 . - ; CD-Audio INS 11-2006 + pochette VIDE.
85-06 ; CSS
Langues : Français
Catégories : DOCUMENTATION CSA :Documentation audiovisuelle:Doc. audiovisuelle Instruction Tags : RTBF instruction télévision protection des mineurs violence Index. décimale : 303.62 Violence Résumé : Plainte : "Je suis très choqué qu'on fasse ainsi l'apologie et la publicité de la violence"
En procédant à l'audition du programme de Vivacité du 7 juillet 2006 de 9H30 à 10h00, le Secrétariat d'instruction n'a identifié aucun spot de promotion pour le film "Funny Games".
Il a donc décidé de procéder au classement sans suite du dossier.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 1000238 INS 11-2006 CD audio Bibliothèque Audiovisuel Instruction Exclu du prêt RTBF - La Une - 10/03/2008 - Intermedias - La publicité et l'audiovisuel du service public - le rôle des nouveaux médias dans la campagne présidentielle américaine - Au JT, la violence des images sur le conflit au Kenya - Les fous du net / Alain Gerlache
Titre : RTBF - La Une - 10/03/2008 - Intermedias - La publicité et l'audiovisuel du service public - le rôle des nouveaux médias dans la campagne présidentielle américaine - Au JT, la violence des images sur le conflit au Kenya - Les fous du net Type de document : document électronique Auteurs : Alain Gerlache, Auteur Editeur : Bruxelles : RTBF (Radio Télévision Belge Francophone) Année de publication : 2008 Importance : 1h 16min 17sec Format : Document numérique Langues : Français Catégories : DOCUMENTATION CSA :Documentation audiovisuelle:Médiation Tags : médiation RTBF journal télévisé violence publicité service public financement internet politique blog Index. décimale : 352.88 Médiateur Note de contenu : COMPTE-RENDU :
Il s'agit du premier numéro de l'émission Intermédias.
L'invitée, sur le plateau, est Larie-Laure Augry, médiatrice sur France 3. Dans sa carrière, elle est passée de la chaîne publique TF1 à la privatisation. Elle dit avoir senti la différence en 24 heures : le règle de l'audimat s'est installée, la chaîne est passée à l'univers commercial.
"Ce qui a été ennuyeux, c'est de privatiser TF1, qui était "la chaîne matrice" du service public. Ce qui a inévitablement entraîné un espèce de boomerang."
Elle reconnaît toutefois qu'une concurrence saine et loyale est positive. Elle reste persuadée que la télévision de service public a un bel avenir devant elle.
Parlant de son émission de médiation "Votre télé et vous", elle la juge fort utile. Les téléspectateurs sont au cœur du générique : ce sont des partenaires qui payent leur redevance, ils ont donc droit à la parole. Leur critiques sont intéressantes.
Patrick Remacle vient parler de la révolution numérique : Internet modifie la façon d'informer (immédiateté, participation, ..). Ce virage incontournable coûte très cher, et les difficultés toucheront tout d'abord le service public. Dans le budget de France Télévision, par exemple, la pub représente 1/3 des revenus. Sa suppression priverait les chaînes de cet apport financier, mais les obligerait également à combler l'espace libéré par de nouveaux programmes.
Patrick Remacle passe en revue le financement publicitaire des chaînes de service public dans différents pays européens, et leur budget. On constate que les situations varient beaucoup d'un pays à l'autre.
Les archives pourraient trouver une nouvelle jeunesse et produire un apport financier non-négligeable, mais le privé y est opposé.
Quel modèle culturel viser ?
Elie Cohen, économiste, trouve que le service public doit maintenir son rôle d'"aiguillon du privé". Pour lui, la question essentielle est de savoir si on veut un audiovisuel public généraliste ou spécialisé ?
Sur le plateau, un échange d'idées va suivre entre Frédéric Antoine (Observatoire du Récit Médiatique) et Jean-Paul Phillipot. F. Antoine ne se dit pas opposé à la pub : simplement, il faut savoir comment l'utiliser, et dans quelles proportions.
Pour l'administrateur-général de la RTBF, une croissance dynamique sans pub serait mieux, mais le législateur a fait un autre choix.
Comment introduire la publicité dans l'audiovisuel de service public dans le pervertir ?
Les programmes ont-ils comme but de préparer les téléspectateurs à la pub et à l'acte d'achat ?
JP Philippot constate que la pression politique sur les programmes est beaucoup plus importante que celle des annonceurs. La RTBF n'a pas une programmation qui cherche à faire des recettes publicitaires. "Notre cible, c'est tous les téléspectateurs : c'est d'ailleurs la critique des annonceurs."
"Nous faisons un mass media" : il faut éviter de tomber dans le piège de l'élitisme, des "niches".
Les jeunes se détournent de la télévision de service public : "le travail, il est dans ce domaine-là", constate l'administrateur-général de la RTBF.
Il constate que pour la radio, le problème est différent : avec les 5 chaînes, en cumulant les audiences, on touche tout le monde. Et pourtant ... une récente enquête a démontré que beaucoup ne connaissaient pas encore La Première !
Marie-Laure Augry retrouve les mêmes problèmes en France. Le service public ne peut pas faire de chaînes trop segmentées : "on doit aux téléspectateurs qui nous financent de s'adresser au plus grand nombre".
Il existe pourtant des chaînes sans publicité : l'émission présente PBS, une chaîne américaine soutenue par le privé non-commercial (grandes fondations). La responsable la présente comme étant tout à fait différente d'une chaîne commerciale dont le premier but est "to make money".
JP Philippot insiste sur le fait que la télévision est un média onéreux. Acheter ou rediffuser un programme est beaucoup moins onéreux que de produire (ex. de Melting Pot Café ou de Septième Ciel, produits par la RTBF).
Frédéric Antoine propose de "contingenter la publicité", puisqu'il semble utopique de la supprimer. "Ce n'est pas une question de statut de la chaîne publique qui est visé, c'est une question de cohérence par rapport à l'écriture du programme."
JP Philippot parle de gros efforts réalisés par la RTBF pour équilibrer son budget tout en investissant dans le numérique sans dotation spécifique (TF1 dispose d'un budget 10 fois supérieur)
Frédéric Antoine en conclut qu'il faut répondre au politique en lui demandant un soutien supplémentaire.
A la question d'Alain Gerlache : "Est-ce que la chaîne publique sans publicité pourrait mieux marquer sa différence par rapport au privé ?", Marie-Laure Aubry répond : "Tout dépend du financement; un service public qui serait "peau de chagrin" ferait le bonheur des concurrents privés."
Nicolas Willems passe au sujet suivant, avec la campagne électorale américaine. Les nouveaux médias jouent un rôle important, tant pour les candidats que pour les électeurs "cybercitoyens". Les commentaires s'échangent sur Facebook, Myspace, et autres blogs ; pour attirer le public, les chaînes classiques se sont associées avec des sites internet comme YouTube.
La campagne est aussi alimentée par des dons directs, au départ des sites des candidats : ce ne sont plus uniquement les grands donateurs qui se manifestent, chacun peut contribuer, à son niveau. Obama a été beaucoup aidé de cette façon.
Marie-Laure Augry remarque que le mouvement commence à s'installer en France: pendant la campagne présidentielle, le débat sur la toile a été actif, sans toutefois handicaper celui qui se tient habituellement sur la télévision et par les contacts directs avec le public.
La dernière partie de l'émission est la "séquence interactive". Marie Laure Augry reconnaît qu'Internet a révolutionné le rapport avec le téléspectateur. Les contenus des courriels qu'elle reçoit à la médiation sont très intéressants.
On aborde le problème de plaintes reçues par la RTBF suite à la diffusion, lors d'un JT de 19h30, de scènes de grande violence au Kenya. A 22h30, le présentateur a prévenu avant de poursuivre le JT.
Isabelle Huysen, la journaliste responsable de l'émission, ne comprend pas vraiment les réactions indignées qui ont suivi la diffusion des images, mais elle admet qu'à l'avenir, elle redoublera de prudence.
Une téléspectatrice est sur le plateau : elle a été interpellée par ces images, qui non seulement l'ont choquée par leur violence, mais dont elle appréhende les conséquences dans le public.
François de Brigode, présentateur du JT incriminé, s'excuse auprès des personnes qui ont été bouleversées. L'attention des journalistes est monopolisée par l'actualité belge, et il n'est pas toujours facile de décortiquer l'information au JT. C'est pour cette raison qu'il existe, parallèlement, des émissions qui se chargent de le faire. Il reconnaît qu'il aurait dû avertir.
Marie-Laure Aubry trouve qu'il ne faut pas aseptiser l'information. Il faut choisir une image "parce qu'elle a un sens", et éviter de porter atteinte à l'intégrité de la personne ou de se laisser aller au sensationnalisme. Pour les journalistes souvent confrontés à des images de ce genre, la distanciation est parfois difficile. Mais l'accompagnement du téléspectateur est importante.
La téléspectatrice se demande si on aurait osé montrer ce genre d'image (un survivant sanguinolent, amputé) s'il s'était agi d'un occidental ? Le problème du droit à l'image est soulevé.
La dernière séquence de l'émission est consacrée aux "fous du net". Rémy Gaillard était au chômage : actuellement,ses vidéos attirent plus de 500.000 visiteurs sur Daily Motion, Fogiel diffuse les vidéos de ses impostures, et Nike lui propose un contrat publicitaire. Il a créé son propre site : http://www.nimportequi.com/
Une comédienne a utilisé le même procédé : elle a commencé par mettre ses vidéos sur le Net, et cela lui a permis d'être repérée par le responsable de Fr4 : "Le Net, ça permet d'être son propre diffuseur et d'avoir un contact avec le public (..) le Net, ça a changé ma vie."
Sur le plateau, Damien Van Achter commente la vidéo d'Yves Leterme : des erreurs ont été remarquées par les téléspectateurs.
ML Augry reconnaît que le président français utilise également ce procédé, qui permet "un contact fabuleux", mais qui peut aussi être "manipulateur". N'importe qui peut filmer et ensuite, diffuser sa vidéo : pour elle, Internet est une espèce de télésurveillance permanente.
Pour Damien Van Achter, Internet permet la transparence, mais il faut accepter que les codes d'information changent.
Il présente ensuite http://www.cio-club.be et, bien sûr : http://www.intermedias.beEn ligne : http://www.intermedias.be RTBF - La Une - 10/03/2008 - Intermedias - La publicité et l'audiovisuel du service public - le rôle des nouveaux médias dans la campagne présidentielle américaine - Au JT, la violence des images sur le conflit au Kenya - Les fous du net [document électronique] / Alain Gerlache, Auteur . - Bruxelles (52 Boulevard Reyers, 1044) : RTBF (Radio Télévision Belge Francophone), 2008 . - 1h 16min 17sec ; Document numérique.
Langues : Français
Catégories : DOCUMENTATION CSA :Documentation audiovisuelle:Médiation Tags : médiation RTBF journal télévisé violence publicité service public financement internet politique blog Index. décimale : 352.88 Médiateur Note de contenu : COMPTE-RENDU :
Il s'agit du premier numéro de l'émission Intermédias.
L'invitée, sur le plateau, est Larie-Laure Augry, médiatrice sur France 3. Dans sa carrière, elle est passée de la chaîne publique TF1 à la privatisation. Elle dit avoir senti la différence en 24 heures : le règle de l'audimat s'est installée, la chaîne est passée à l'univers commercial.
"Ce qui a été ennuyeux, c'est de privatiser TF1, qui était "la chaîne matrice" du service public. Ce qui a inévitablement entraîné un espèce de boomerang."
Elle reconnaît toutefois qu'une concurrence saine et loyale est positive. Elle reste persuadée que la télévision de service public a un bel avenir devant elle.
Parlant de son émission de médiation "Votre télé et vous", elle la juge fort utile. Les téléspectateurs sont au cœur du générique : ce sont des partenaires qui payent leur redevance, ils ont donc droit à la parole. Leur critiques sont intéressantes.
Patrick Remacle vient parler de la révolution numérique : Internet modifie la façon d'informer (immédiateté, participation, ..). Ce virage incontournable coûte très cher, et les difficultés toucheront tout d'abord le service public. Dans le budget de France Télévision, par exemple, la pub représente 1/3 des revenus. Sa suppression priverait les chaînes de cet apport financier, mais les obligerait également à combler l'espace libéré par de nouveaux programmes.
Patrick Remacle passe en revue le financement publicitaire des chaînes de service public dans différents pays européens, et leur budget. On constate que les situations varient beaucoup d'un pays à l'autre.
Les archives pourraient trouver une nouvelle jeunesse et produire un apport financier non-négligeable, mais le privé y est opposé.
Quel modèle culturel viser ?
Elie Cohen, économiste, trouve que le service public doit maintenir son rôle d'"aiguillon du privé". Pour lui, la question essentielle est de savoir si on veut un audiovisuel public généraliste ou spécialisé ?
Sur le plateau, un échange d'idées va suivre entre Frédéric Antoine (Observatoire du Récit Médiatique) et Jean-Paul Phillipot. F. Antoine ne se dit pas opposé à la pub : simplement, il faut savoir comment l'utiliser, et dans quelles proportions.
Pour l'administrateur-général de la RTBF, une croissance dynamique sans pub serait mieux, mais le législateur a fait un autre choix.
Comment introduire la publicité dans l'audiovisuel de service public dans le pervertir ?
Les programmes ont-ils comme but de préparer les téléspectateurs à la pub et à l'acte d'achat ?
JP Philippot constate que la pression politique sur les programmes est beaucoup plus importante que celle des annonceurs. La RTBF n'a pas une programmation qui cherche à faire des recettes publicitaires. "Notre cible, c'est tous les téléspectateurs : c'est d'ailleurs la critique des annonceurs."
"Nous faisons un mass media" : il faut éviter de tomber dans le piège de l'élitisme, des "niches".
Les jeunes se détournent de la télévision de service public : "le travail, il est dans ce domaine-là", constate l'administrateur-général de la RTBF.
Il constate que pour la radio, le problème est différent : avec les 5 chaînes, en cumulant les audiences, on touche tout le monde. Et pourtant ... une récente enquête a démontré que beaucoup ne connaissaient pas encore La Première !
Marie-Laure Augry retrouve les mêmes problèmes en France. Le service public ne peut pas faire de chaînes trop segmentées : "on doit aux téléspectateurs qui nous financent de s'adresser au plus grand nombre".
Il existe pourtant des chaînes sans publicité : l'émission présente PBS, une chaîne américaine soutenue par le privé non-commercial (grandes fondations). La responsable la présente comme étant tout à fait différente d'une chaîne commerciale dont le premier but est "to make money".
JP Philippot insiste sur le fait que la télévision est un média onéreux. Acheter ou rediffuser un programme est beaucoup moins onéreux que de produire (ex. de Melting Pot Café ou de Septième Ciel, produits par la RTBF).
Frédéric Antoine propose de "contingenter la publicité", puisqu'il semble utopique de la supprimer. "Ce n'est pas une question de statut de la chaîne publique qui est visé, c'est une question de cohérence par rapport à l'écriture du programme."
JP Philippot parle de gros efforts réalisés par la RTBF pour équilibrer son budget tout en investissant dans le numérique sans dotation spécifique (TF1 dispose d'un budget 10 fois supérieur)
Frédéric Antoine en conclut qu'il faut répondre au politique en lui demandant un soutien supplémentaire.
A la question d'Alain Gerlache : "Est-ce que la chaîne publique sans publicité pourrait mieux marquer sa différence par rapport au privé ?", Marie-Laure Aubry répond : "Tout dépend du financement; un service public qui serait "peau de chagrin" ferait le bonheur des concurrents privés."
Nicolas Willems passe au sujet suivant, avec la campagne électorale américaine. Les nouveaux médias jouent un rôle important, tant pour les candidats que pour les électeurs "cybercitoyens". Les commentaires s'échangent sur Facebook, Myspace, et autres blogs ; pour attirer le public, les chaînes classiques se sont associées avec des sites internet comme YouTube.
La campagne est aussi alimentée par des dons directs, au départ des sites des candidats : ce ne sont plus uniquement les grands donateurs qui se manifestent, chacun peut contribuer, à son niveau. Obama a été beaucoup aidé de cette façon.
Marie-Laure Augry remarque que le mouvement commence à s'installer en France: pendant la campagne présidentielle, le débat sur la toile a été actif, sans toutefois handicaper celui qui se tient habituellement sur la télévision et par les contacts directs avec le public.
La dernière partie de l'émission est la "séquence interactive". Marie Laure Augry reconnaît qu'Internet a révolutionné le rapport avec le téléspectateur. Les contenus des courriels qu'elle reçoit à la médiation sont très intéressants.
On aborde le problème de plaintes reçues par la RTBF suite à la diffusion, lors d'un JT de 19h30, de scènes de grande violence au Kenya. A 22h30, le présentateur a prévenu avant de poursuivre le JT.
Isabelle Huysen, la journaliste responsable de l'émission, ne comprend pas vraiment les réactions indignées qui ont suivi la diffusion des images, mais elle admet qu'à l'avenir, elle redoublera de prudence.
Une téléspectatrice est sur le plateau : elle a été interpellée par ces images, qui non seulement l'ont choquée par leur violence, mais dont elle appréhende les conséquences dans le public.
François de Brigode, présentateur du JT incriminé, s'excuse auprès des personnes qui ont été bouleversées. L'attention des journalistes est monopolisée par l'actualité belge, et il n'est pas toujours facile de décortiquer l'information au JT. C'est pour cette raison qu'il existe, parallèlement, des émissions qui se chargent de le faire. Il reconnaît qu'il aurait dû avertir.
Marie-Laure Aubry trouve qu'il ne faut pas aseptiser l'information. Il faut choisir une image "parce qu'elle a un sens", et éviter de porter atteinte à l'intégrité de la personne ou de se laisser aller au sensationnalisme. Pour les journalistes souvent confrontés à des images de ce genre, la distanciation est parfois difficile. Mais l'accompagnement du téléspectateur est importante.
La téléspectatrice se demande si on aurait osé montrer ce genre d'image (un survivant sanguinolent, amputé) s'il s'était agi d'un occidental ? Le problème du droit à l'image est soulevé.
La dernière séquence de l'émission est consacrée aux "fous du net". Rémy Gaillard était au chômage : actuellement,ses vidéos attirent plus de 500.000 visiteurs sur Daily Motion, Fogiel diffuse les vidéos de ses impostures, et Nike lui propose un contrat publicitaire. Il a créé son propre site : http://www.nimportequi.com/
Une comédienne a utilisé le même procédé : elle a commencé par mettre ses vidéos sur le Net, et cela lui a permis d'être repérée par le responsable de Fr4 : "Le Net, ça permet d'être son propre diffuseur et d'avoir un contact avec le public (..) le Net, ça a changé ma vie."
Sur le plateau, Damien Van Achter commente la vidéo d'Yves Leterme : des erreurs ont été remarquées par les téléspectateurs.
ML Augry reconnaît que le président français utilise également ce procédé, qui permet "un contact fabuleux", mais qui peut aussi être "manipulateur". N'importe qui peut filmer et ensuite, diffuser sa vidéo : pour elle, Internet est une espèce de télésurveillance permanente.
Pour Damien Van Achter, Internet permet la transparence, mais il faut accepter que les codes d'information changent.
Il présente ensuite http://www.cio-club.be et, bien sûr : http://www.intermedias.beEn ligne : http://www.intermedias.be Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 1001052 MED 2008 RTBF RES Document numérique Réseau Médiation Disponible RTBF La Une - 17/11/2010 - Diversity Show 2010 - « Retourne dans ton pays ! » / Hadja Lahbib
Titre : RTBF La Une - 17/11/2010 - Diversity Show 2010 - « Retourne dans ton pays ! » Type de document : document projeté ou vidéo Auteurs : Hadja Lahbib, Présentateur Editeur : Bruxelles : RTBF - La Une Année de publication : 2010 Format : DVD Langues : Français Catégories : MEDIAS: COMMUNICATION & JOURNALISME - Aspects généraux Tags : diversité culturelle RTBF discrimination racisme Index. décimale : 306.44 Multiculturalisme Résumé : "Ce mercredi soir, c’est un véritable OVNI qui va passer dans notre paysage audiovisuel. En collaboration avec l’UER, la RTBF va produire « Retourne dans ton pays ! ». Une émission à la fois d’information et divertissante.
L’initiative est née à Hessen, en Allemagne, en 2006. A l’invitation de l’Union Européenne de Radiodiffusion, les télévisions publiques allemandes organisaient un colloque sur la diversité culturelle dans les médias à travers l’Europe. Une manière d’illustrer par un mode contrasté, la multiculturalité telle qu’elle se décline sur nos écrans, mais également dans notre société. L’année suivante, c’est France Télévisions qui invite les membres de l’UER au siège de l’Unesco à Paris. En 2008, la télévision néerlandaise décide de briser les codes et propose la même journée que le colloque à Hilversum, un show télévisée à l’américaine qui durera toute la journée, en télé, sur la NOS.
Cette année, la RTBF profite de la Présidence de l'Union européenne pour organiser la quatrième édition à Bruxelles.(...)"
Source : http://www.tuner.be - Consulté le 07/01/2011)RTBF La Une - 17/11/2010 - Diversity Show 2010 - « Retourne dans ton pays ! » [document projeté ou vidéo] / Hadja Lahbib, Présentateur . - Bruxelles : RTBF - La Une, 2010 . - ; DVD.
Langues : Français
Catégories : MEDIAS: COMMUNICATION & JOURNALISME - Aspects généraux Tags : diversité culturelle RTBF discrimination racisme Index. décimale : 306.44 Multiculturalisme Résumé : "Ce mercredi soir, c’est un véritable OVNI qui va passer dans notre paysage audiovisuel. En collaboration avec l’UER, la RTBF va produire « Retourne dans ton pays ! ». Une émission à la fois d’information et divertissante.
L’initiative est née à Hessen, en Allemagne, en 2006. A l’invitation de l’Union Européenne de Radiodiffusion, les télévisions publiques allemandes organisaient un colloque sur la diversité culturelle dans les médias à travers l’Europe. Une manière d’illustrer par un mode contrasté, la multiculturalité telle qu’elle se décline sur nos écrans, mais également dans notre société. L’année suivante, c’est France Télévisions qui invite les membres de l’UER au siège de l’Unesco à Paris. En 2008, la télévision néerlandaise décide de briser les codes et propose la même journée que le colloque à Hilversum, un show télévisée à l’américaine qui durera toute la journée, en télé, sur la NOS.
Cette année, la RTBF profite de la Présidence de l'Union européenne pour organiser la quatrième édition à Bruxelles.(...)"
Source : http://www.tuner.be - Consulté le 07/01/2011)Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 1002634 AV 68 DVD Bibliothèque Documentaires Disponible
Titre : RTBF - La Deux - 26/03/2010 - Intermedias - La revanche de la radio Type de document : document électronique Auteurs : Alain Gerlache, Auteur Editeur : Bruxelles : RTBF (Radio Télévision Belge Francophone) Année de publication : 2010 Format : Document numérique Langues : Français Catégories : DOCUMENTATION CSA :Documentation audiovisuelle:Médiation
MEDIAS:AUDIOVISUEL: RADIOTags : médiation RTBF radio Index. décimale : 352.88 Médiateur Résumé : PRESENTATION SUR LE SITE http://www.intermedias.be (Consulté le 06/04/2010) :
"La radio conserve dans le paysage audiovisuel un fort potentiel d'audience. Son faible coût, sa souplesse, son accessibilité en font un outil d'information et de divertissement incontournable. Et l'évolution technique actuelle (Internet, podcast, mp3, numérique terrestre) ne fait que renforcer ce media !...Pourquoi la radio, annoncée comme moribonde à l'arrivée de la télévision, puis carrément morte avec Internet, continue-t-elle à avoir autant de succès ?"Note de contenu : INVITES :
Manu DELPORTE : Journaliste RTBF.be
Yasin ÖZCAN : Animateur radio (Radio Pasa)
Adrien JOVENEAU : Animateur et producteur RTBF.be
Frédéric CAUDERLIER : Journaliste Bel RTL
En deuxième partie, InterMédias propose un face à face entre :
Francis GOFFIN, Directeur de la radio RTBF.be et
Marc VOSSEN, Directeur Général Radio Nostalgie
Ils confronteront leurs analyses sur la situation et les perspectives de développement du média radio, chez nous et dans le monde
En ligne : http://www.intermedias.be RTBF - La Deux - 26/03/2010 - Intermedias - La revanche de la radio [document électronique] / Alain Gerlache, Auteur . - Bruxelles (52 Boulevard Reyers, 1044) : RTBF (Radio Télévision Belge Francophone), 2010 . - ; Document numérique.
Langues : Français
Catégories : DOCUMENTATION CSA :Documentation audiovisuelle:Médiation
MEDIAS:AUDIOVISUEL: RADIOTags : médiation RTBF radio Index. décimale : 352.88 Médiateur Résumé : PRESENTATION SUR LE SITE http://www.intermedias.be (Consulté le 06/04/2010) :
"La radio conserve dans le paysage audiovisuel un fort potentiel d'audience. Son faible coût, sa souplesse, son accessibilité en font un outil d'information et de divertissement incontournable. Et l'évolution technique actuelle (Internet, podcast, mp3, numérique terrestre) ne fait que renforcer ce media !...Pourquoi la radio, annoncée comme moribonde à l'arrivée de la télévision, puis carrément morte avec Internet, continue-t-elle à avoir autant de succès ?"Note de contenu : INVITES :
Manu DELPORTE : Journaliste RTBF.be
Yasin ÖZCAN : Animateur radio (Radio Pasa)
Adrien JOVENEAU : Animateur et producteur RTBF.be
Frédéric CAUDERLIER : Journaliste Bel RTL
En deuxième partie, InterMédias propose un face à face entre :
Francis GOFFIN, Directeur de la radio RTBF.be et
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Ils confronteront leurs analyses sur la situation et les perspectives de développement du média radio, chez nous et dans le monde
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 1002280 MED 2010 RTBF RES Document numérique Réseau Médiation Disponible RTBF - Plan d'entreprise 2001-2005 / Christian Druitte
Titre : RTBF - Plan d'entreprise 2001-2005 Type de document : texte imprimé Auteurs : Christian Druitte, Editeur scientifique Editeur : Bruxelles : RTBF (Radio Télévision Belge Francophone) Année de publication : sd Importance : 130 p. Format : 29,5 cm Langues : Français Catégories : RAPPORTS D'ACTIVITE (sauf CSA) Tags : RTBF rapport d'activité Index. décimale : 651.78 Rapport de gestion Résumé : "Au printemps 2001,la RTBF présentera son projet de deuxième contrat de gestion au Gouvernement de la Communauté française.
Par les choix qui seront faits, elle engagera pour quatre à six ans encore sa manière d'être, d'agir et d'exister. (...)
Aujourd'hui, la question est de savoir ce que nous voulons pour la RTBF pour les années à venir. Sauf à stagner, et donc à se condamner elle-même, la RTBF doit relancer quelques défis majeurs au travers d'objectifs à définir.
Elle entend bien sûr ne pas se soustraire à ses obligations globales de service public qui sont sa raison d'être et d'exister... Elle doit donc définir sa ligne de conduite. Mais elle doit aussi relever les défis technologiques qui, s'ils n'étaient pas rencontrés, la mettraient en condition de sous-développement et donc en danger.
Mais dispose-t-elle réellement des moyens de cette politique?
(...)
Le plan d'entreprise qui suit n'a rien d'idéaliste; au contraire ..
Mais il montrera la sous-capacité financière de la RTBF devant les objectifs fixés quels que soient ses efforts pour tenter de les mener à bien.
Nous sommes tout à fait conscients des difficultés budgétaires de la Comunauté française. Mais à l'heure des renégociations globales, il est impérieux qu'elle puisse mesurer les besoins et surtout le coût d'un service public de l'audiovisuel digne des missions qui lui ont été fixées par le législateur.
(Extraits de l'introduction par Christian Druitte)Note de contenu : Grands titres de la table des matières :
I * INTRODUCTION
II * OBJECTIFS DE L'ENTREPRISE :
- EN TELEVISION
1. Le contenu : la différence et la performance
A. La différence
Différence tangible et identifiable
Différence par un objectif culturel global spécifique
Différence comme vecteur de citoyeneté
B. La performance
2. La technologie
a/ Nouvelles techniques d'acquisition de stockage et de diffusion d'images TV
b/ Diffusion en numérique hertzien
c/ Diffusion satellitaire
3. Les chaînes thématiques
- EN RADIO
1. Le contenu
2. La technologie
- INTERNET
- LES SPORTS
- PATRIMOINE
1. La valorisation des actifs immobiliers à Reyers et Wavre
2. La valorisation des sites d'émissions
3. La consolidation des centres régionaux
- PERSONNEL
1. Le statut du personnel
2. Initiatives dans la gestion du personnel
3. Formation
4. Impact de nouvelles dispositions légales ("Rosetta")
- COMMUNICATION
- DIVERSIFICATION ET PARTENARIATIAT
III * COUT ET FINANCEMENT DES OBJECTIFS
1. Les opérations exceptionnelles
2. La reconduction
3. Les objectifs
- Les investissements
- Les charges
Le montant global des charges
La ventilation des charges : la télévision / la radio/Internet/Le patrimoine/Le personnel
- Les comptes de résultat
IV * Détermination des priorités et mesures
Annexes :
Les dotations de 14 télévisions européennes
Conférence de presse du 3 juillet 2000
Plan Radio
Stratégie Internet
Plan de formation
RTBF - Plan d'entreprise 2001-2005 [texte imprimé] / Christian Druitte, Editeur scientifique . - Bruxelles (52 Boulevard Reyers, 1044) : RTBF (Radio Télévision Belge Francophone), sd . - 130 p. ; 29,5 cm.
Langues : Français
Catégories : RAPPORTS D'ACTIVITE (sauf CSA) Tags : RTBF rapport d'activité Index. décimale : 651.78 Rapport de gestion Résumé : "Au printemps 2001,la RTBF présentera son projet de deuxième contrat de gestion au Gouvernement de la Communauté française.
Par les choix qui seront faits, elle engagera pour quatre à six ans encore sa manière d'être, d'agir et d'exister. (...)
Aujourd'hui, la question est de savoir ce que nous voulons pour la RTBF pour les années à venir. Sauf à stagner, et donc à se condamner elle-même, la RTBF doit relancer quelques défis majeurs au travers d'objectifs à définir.
Elle entend bien sûr ne pas se soustraire à ses obligations globales de service public qui sont sa raison d'être et d'exister... Elle doit donc définir sa ligne de conduite. Mais elle doit aussi relever les défis technologiques qui, s'ils n'étaient pas rencontrés, la mettraient en condition de sous-développement et donc en danger.
Mais dispose-t-elle réellement des moyens de cette politique?
(...)
Le plan d'entreprise qui suit n'a rien d'idéaliste; au contraire ..
Mais il montrera la sous-capacité financière de la RTBF devant les objectifs fixés quels que soient ses efforts pour tenter de les mener à bien.
Nous sommes tout à fait conscients des difficultés budgétaires de la Comunauté française. Mais à l'heure des renégociations globales, il est impérieux qu'elle puisse mesurer les besoins et surtout le coût d'un service public de l'audiovisuel digne des missions qui lui ont été fixées par le législateur.
(Extraits de l'introduction par Christian Druitte)Note de contenu : Grands titres de la table des matières :
I * INTRODUCTION
II * OBJECTIFS DE L'ENTREPRISE :
- EN TELEVISION
1. Le contenu : la différence et la performance
A. La différence
Différence tangible et identifiable
Différence par un objectif culturel global spécifique
Différence comme vecteur de citoyeneté
B. La performance
2. La technologie
a/ Nouvelles techniques d'acquisition de stockage et de diffusion d'images TV
b/ Diffusion en numérique hertzien
c/ Diffusion satellitaire
3. Les chaînes thématiques
- EN RADIO
1. Le contenu
2. La technologie
- INTERNET
- LES SPORTS
- PATRIMOINE
1. La valorisation des actifs immobiliers à Reyers et Wavre
2. La valorisation des sites d'émissions
3. La consolidation des centres régionaux
- PERSONNEL
1. Le statut du personnel
2. Initiatives dans la gestion du personnel
3. Formation
4. Impact de nouvelles dispositions légales ("Rosetta")
- COMMUNICATION
- DIVERSIFICATION ET PARTENARIATIAT
III * COUT ET FINANCEMENT DES OBJECTIFS
1. Les opérations exceptionnelles
2. La reconduction
3. Les objectifs
- Les investissements
- Les charges
Le montant global des charges
La ventilation des charges : la télévision / la radio/Internet/Le patrimoine/Le personnel
- Les comptes de résultat
IV * Détermination des priorités et mesures
Annexes :
Les dotations de 14 télévisions européennes
Conférence de presse du 3 juillet 2000
Plan Radio
Stratégie Internet
Plan de formation
Réservation
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Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 1000678 2 RTBF RAP Livre Bibliothèque Documentaires Disponible RTBF - Vivacité - 07/04/2005 - Spot consacré à la campagne de prévention des accidents du travail / CSA (Bruxelles, Belgique)
PermalinkLe CSA ouvre une instruction contre une radio qui a diffusé une pub sexiste de Lidl (www.rtbf.be, 05/03/2017) / Belga News Agency (Belgique)
PermalinkPermalinkPermalinkCAC - 01/02/2006 - Décision - RTBF - La Une : Utilisation d'extraits et d'annonces d'un programme dans les jingles de tunnels publicitaires - "Les Rois Maudits" / CSA (Bruxelles, Belgique)
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