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275 - septembre 2009 - Discriminations : la marque médiatique - La responsabilité sociale des médias - Les pratiques des journalistes en question - Promotion de la pensée critique (Bulletin de Agenda Interculturel) / Nathalie Caprioli
[n° ou bulletin]
Titre : 275 - septembre 2009 - Discriminations : la marque médiatique - La responsabilité sociale des médias - Les pratiques des journalistes en question - Promotion de la pensée critique Type de document : document électronique Auteurs : Nathalie Caprioli, Auteur ; Reynald Blion, Auteur ; Marc Sinnaeve, Auteur ; Joëlle Desterbecq, Personne interviewée ; Marc Lits, Personne interviewée ; Stéphanie D'haenens, Auteur ; Daniel Bonvoisin, Auteur ; Layla Nabulsi, Auteur ; Raoul Reyers, Auteur ; Edgard Szoc, Auteur Année de publication : 2009 Format : Document électronique Langues : Français Catégories : MEDIAS: PRESSE ECRITE:Contenu: multiculturalité
MEDIAS:AUDIOVISUEL: RADIO:Programmes / Contenu:multiculturalité
MEDIAS:AUDIOVISUEL: TELEVISION: Programmes / Contenu: multiculturalitéTags : discrimination diversité culturelle médias télévision radio presse écrite audiovisuel journalisme Index. décimale : 177.5 Pratiques discriminatoires Résumé : "Quel est le rôle des médias dans la lutte contre les discriminations ? Quelle est l’influence des médias sur l’opinion publique ? Après tout, ceux et celles qui font la société attendent-ils la presse pour se forger une opinion ?
Par essence, le journaliste travaille sur le désordre social, politique, économique, culturel. On ne peut donc pas le blâmer de ne raconter que trop rarement des « success stories ». En revanche, on peut lui reprocher des laisser-aller dans l’usage des mots –deux exemples trop souvent rencontrés : la confusion entre mariage arrangé et mariage forcé ; ou la persistance à évoquer les migrants comme « un problème ». Ces désinvoltures participent à renforcer des fausses représentations, alors même que la responsabilité du journaliste est de déconstruire les clichés qui se donnent comme évidences.
On reproche aussi régulièrement aux médias de privilégier l’angle affectif et spectaculaire à l’analyse, sous prétexte que le lecteur ne lirait plus au-delà de deux colonnes ou que l’auditeur décrocherait trop vite son attention. L’accent sera plutôt mis sur un conflit entre un demandeur d’asile et son voisin, alors que la question principale pourrait être : pourquoi est-on demandeur d’asile ? Poser cette question, c’est faire l’effort de complexifier le contexte. Or le problème majeur des médias n’est pas leur impartialité mais leur simplisme.
En général, face à ces critiques, les journalistes ne se dérobent pas. Ainsi, un professionnel grec tirant le bilan du piètre travail des médias sur le thème des migrants a eu le cran de reconnaître publiquement que « nous avons parfois été entraînés par des lecteurs aux positions extrêmes. Nous sommes restés à la surface, sans entrer en dialogue avec tous les protagonistes. Nous n’avons pas mené la vie dure aux passeurs et aux trafiquants. » Sans appel. Les difficiles conditions de travail des journalistes, qui les obligent à courir plus après le temps que derrière les informations, sont à compter parmi les circonstances atténuantes.
Les journalistes prennent la mesure de leurs responsabilités, et savent qu’ils doivent non seulement enregistrer, mais surtout expliquer. Or pour y arriver, il faudrait redonner de la durée à la réflexion." (Nathalie Caprioli)
(Source : http://www.cbai.be - Consulté le 01/04/2010)
Note de contenu : SOMMAIRE
Le « Non » de journalistes européens
Reynald Blion
La campagne « Dites Non à la Discrimination » du Conseil de l’Europe s’inscrit au cœur des enjeux de la cohésion sociale et du vivre ensemble. À long terme, un des résultats attendus est la création d'un réseau de professionnels des médias (dont l’Agenda interculturel) et d'organisations de médias pour promouvoir le dialogue interculturel et des pratiques et politiques de lutte contre les discriminations en Europe.
Le jeu des étiquettes médiatiques
Marc Sinnaeve
La question de la représentation de la diversité ou des minorités ethniques dans l’information n’est pas tant affaire de quantité ou de visibilité que l’on jugera tantôt excessivement disqualifiante tantôt naïvement valorisante. Elle a davantage à voir avec le régime même de visibilité. Or, il apparaît que leur mise en actualité est la plupart du temps liée à leur condition de minorités ethniques. Ce qui les enferme dans une altérité radicale que l’on peut qualifier d’essentialiste. Comment opèrent ces représentations réductrices ? Pourquoi ? Avec quelles conséquences ? Quels enjeux ?
Une presse aseptisée
Entretien avec Joëlle Desterbecq et Marc Lits
En 1993 et en 2006, des chercheurs des universités de Gand et de l’UCL ont étudié la représentation des minorités ethniques dans les médias belges. En quatorze ans, les pratiques des journalistes ont-elles évolué ? Le point avec Joëlle Desterbecq et Marc Lits, respectivement chercheure et professeur à l’Observatoire du récit médiatique de l’UCL.
Le journaliste, les nomades et l’abondance
Stéphanie D’Haenens
Le visible, ce que, entre autres, les médias nous « font voir », nous « font savoir » nous l’intériorisons comme autant d’éléments constitutifs de nos représentations du monde. Cependant, dans le visible se loge en creux l’invisible : les faits présentés comme constitutifs de l’actualité, avérés, masquent bien d’autres éléments non dits. Pointer cette tension, c’est l’exercice auquel s’est livré le GSARA1 à travers son DVD pédagogique. Une réflexion sur les représentations audiovisuelles des sans papiers.
Cachons cet Iran que nous ne saurions voir
Daniel Bonvoisin
En 2007, le film d’animation Persepolis de Marjane Satrapi et de Vincent Paronnaud remporte le Grand Prix du festival de Cannes et suscite les éloges unanimes de la presse. En juin 2009, les manipulations électorales des présidentielles iraniennes suscitent une vague de protestation que la presse mondiale relaie massivement en se basant surtout sur les informations venues d’Internet. Sans lien direct, ces deux épisodes du rapport entre l’Iran et les médias présentent pourtant des points communs qui illustrent peut-être une manière défectueuse d’aborder la question iranienne.
Le parti d’en rire
Layla Nabulsi, Raoul Reyers, Zidani
Balbelgium, ce sont des mini séries de même pas deux minutes diffusées avant le JT de la RTBF durant le mois d’août. À prendre tous les jours comme capsules de rire pour guérir du racisme et des préjugés. Explications de quelques humoristes auteurs de ces séries, sollicités par le CIRé et le CBAI.
Radios des diversités, diversité des radios
Edgar Szoc
Le monopole public des fréquences modulées (FM) a été cassé à la fin des années 1970 par le mouvement des radios libres. Mais un glissement s’est opéré dans les années 1980 et 1990, voyant ces fréquences associatives rachetées par des radios commerciales, lesquelles n’ont cessé de se développer en réseaux, tout en se concentrant dans les mains de quelques groupes financiers. Après la saga scientifico-politico-financière, traduisant les rapports de force entre État, entreprises et dynamiques associatives, le Plan de fréquence enfin conclu permet-il d’assurer la diversité culturelle, le pluralisme et la promotion de la pensée critique ?
À l’école du journalisme européen de proximité
Marc Sinnaeve
Micro-Europa… Cette initiative de radios-écoles partenaires préfigure-t-elle le futur journalisme européen en réseau ? C’est en tout cas l’ambition : préparer une nouvelle génération de journalistes qui aient à cœur de traiter l’information sur les enjeux européens à partir des besoins en information des citoyens là où ils vivent, travaillent ou étudient. C’est l’Europe des villes, des villages et des régions reliés par ce qu’ils ont de commun et de différent : l’Europe écoutée à l’horizontale. Mais aussi l’Europe d’en haut vécue en bas, et l’Europe d’en bas qui se fait entendre en haut !
Les 20 ans de / à Bruxelles
La Région Bruxelles-Capitale a vingt ans cette année. Jeune Région ! Internationale, européenne, multiculturelle. Interculturelle en devenir… ? avec ses 46,5 % de Bruxellois de nationalité ou d’origine étrangère.
Le CBAI a choisi de marquer ce vingtième anniversaire de sa griffe, en publiant deux articles sur les jeunesses urbaines -une façon de souligner que la population bruxelloise est plus jeune que dans les deux autres Régions du pays.
Le charme discret de la reproduction sociale
Pierre Marissal, géographe à l’ULB-IGEAT (Institut de gestion de l’environnement et d’aménagement du territoire) analyse les conditions de vie des jeunesses bruxelloises à l’échelle des heurts et malheurs des rapports sociaux. Passant de courbes en pyramides, il illustre et commente les inégalités sociales entre les quartiers de Bruxelles.
Plaidoyer pour la « double expertise »
Ngyess Lazalo Ndoma & Mireille Robert
De juillet 2008 à mai 2009, six morts. Six jeunes d’origine africaine. Ils s’entretuent entre groupes ennemis dans les rues de Bruxelles. Qui sont-ils ? Ni enfants soldats ni bandes urbaines, ce sont des jeunes en difficulté auxquels les pouvoirs publics ne savent pas répondre. L’observatoire Ba YaYa dénonce : les politiques de cohésion sociale tournent en rond et la situation ne fait que s’aggraver. Il est temps de tenir compte des appartenances culturelles plurielles.
(Source : http://www.cbai.be - Consulté le 01/04/2010)
En ligne : http://www.cbai.be/?pageid=57&idrevue=146 [n° ou bulletin] 275 - septembre 2009 - Discriminations : la marque médiatique - La responsabilité sociale des médias - Les pratiques des journalistes en question - Promotion de la pensée critique [document électronique] / Nathalie Caprioli, Auteur ; Reynald Blion, Auteur ; Marc Sinnaeve, Auteur ; Joëlle Desterbecq, Personne interviewée ; Marc Lits, Personne interviewée ; Stéphanie D'haenens, Auteur ; Daniel Bonvoisin, Auteur ; Layla Nabulsi, Auteur ; Raoul Reyers, Auteur ; Edgard Szoc, Auteur . - 2009 . - ; Document électronique.
Langues : Français
Catégories : MEDIAS: PRESSE ECRITE:Contenu: multiculturalité
MEDIAS:AUDIOVISUEL: RADIO:Programmes / Contenu:multiculturalité
MEDIAS:AUDIOVISUEL: TELEVISION: Programmes / Contenu: multiculturalitéTags : discrimination diversité culturelle médias télévision radio presse écrite audiovisuel journalisme Index. décimale : 177.5 Pratiques discriminatoires Résumé : "Quel est le rôle des médias dans la lutte contre les discriminations ? Quelle est l’influence des médias sur l’opinion publique ? Après tout, ceux et celles qui font la société attendent-ils la presse pour se forger une opinion ?
Par essence, le journaliste travaille sur le désordre social, politique, économique, culturel. On ne peut donc pas le blâmer de ne raconter que trop rarement des « success stories ». En revanche, on peut lui reprocher des laisser-aller dans l’usage des mots –deux exemples trop souvent rencontrés : la confusion entre mariage arrangé et mariage forcé ; ou la persistance à évoquer les migrants comme « un problème ». Ces désinvoltures participent à renforcer des fausses représentations, alors même que la responsabilité du journaliste est de déconstruire les clichés qui se donnent comme évidences.
On reproche aussi régulièrement aux médias de privilégier l’angle affectif et spectaculaire à l’analyse, sous prétexte que le lecteur ne lirait plus au-delà de deux colonnes ou que l’auditeur décrocherait trop vite son attention. L’accent sera plutôt mis sur un conflit entre un demandeur d’asile et son voisin, alors que la question principale pourrait être : pourquoi est-on demandeur d’asile ? Poser cette question, c’est faire l’effort de complexifier le contexte. Or le problème majeur des médias n’est pas leur impartialité mais leur simplisme.
En général, face à ces critiques, les journalistes ne se dérobent pas. Ainsi, un professionnel grec tirant le bilan du piètre travail des médias sur le thème des migrants a eu le cran de reconnaître publiquement que « nous avons parfois été entraînés par des lecteurs aux positions extrêmes. Nous sommes restés à la surface, sans entrer en dialogue avec tous les protagonistes. Nous n’avons pas mené la vie dure aux passeurs et aux trafiquants. » Sans appel. Les difficiles conditions de travail des journalistes, qui les obligent à courir plus après le temps que derrière les informations, sont à compter parmi les circonstances atténuantes.
Les journalistes prennent la mesure de leurs responsabilités, et savent qu’ils doivent non seulement enregistrer, mais surtout expliquer. Or pour y arriver, il faudrait redonner de la durée à la réflexion." (Nathalie Caprioli)
(Source : http://www.cbai.be - Consulté le 01/04/2010)
Note de contenu : SOMMAIRE
Le « Non » de journalistes européens
Reynald Blion
La campagne « Dites Non à la Discrimination » du Conseil de l’Europe s’inscrit au cœur des enjeux de la cohésion sociale et du vivre ensemble. À long terme, un des résultats attendus est la création d'un réseau de professionnels des médias (dont l’Agenda interculturel) et d'organisations de médias pour promouvoir le dialogue interculturel et des pratiques et politiques de lutte contre les discriminations en Europe.
Le jeu des étiquettes médiatiques
Marc Sinnaeve
La question de la représentation de la diversité ou des minorités ethniques dans l’information n’est pas tant affaire de quantité ou de visibilité que l’on jugera tantôt excessivement disqualifiante tantôt naïvement valorisante. Elle a davantage à voir avec le régime même de visibilité. Or, il apparaît que leur mise en actualité est la plupart du temps liée à leur condition de minorités ethniques. Ce qui les enferme dans une altérité radicale que l’on peut qualifier d’essentialiste. Comment opèrent ces représentations réductrices ? Pourquoi ? Avec quelles conséquences ? Quels enjeux ?
Une presse aseptisée
Entretien avec Joëlle Desterbecq et Marc Lits
En 1993 et en 2006, des chercheurs des universités de Gand et de l’UCL ont étudié la représentation des minorités ethniques dans les médias belges. En quatorze ans, les pratiques des journalistes ont-elles évolué ? Le point avec Joëlle Desterbecq et Marc Lits, respectivement chercheure et professeur à l’Observatoire du récit médiatique de l’UCL.
Le journaliste, les nomades et l’abondance
Stéphanie D’Haenens
Le visible, ce que, entre autres, les médias nous « font voir », nous « font savoir » nous l’intériorisons comme autant d’éléments constitutifs de nos représentations du monde. Cependant, dans le visible se loge en creux l’invisible : les faits présentés comme constitutifs de l’actualité, avérés, masquent bien d’autres éléments non dits. Pointer cette tension, c’est l’exercice auquel s’est livré le GSARA1 à travers son DVD pédagogique. Une réflexion sur les représentations audiovisuelles des sans papiers.
Cachons cet Iran que nous ne saurions voir
Daniel Bonvoisin
En 2007, le film d’animation Persepolis de Marjane Satrapi et de Vincent Paronnaud remporte le Grand Prix du festival de Cannes et suscite les éloges unanimes de la presse. En juin 2009, les manipulations électorales des présidentielles iraniennes suscitent une vague de protestation que la presse mondiale relaie massivement en se basant surtout sur les informations venues d’Internet. Sans lien direct, ces deux épisodes du rapport entre l’Iran et les médias présentent pourtant des points communs qui illustrent peut-être une manière défectueuse d’aborder la question iranienne.
Le parti d’en rire
Layla Nabulsi, Raoul Reyers, Zidani
Balbelgium, ce sont des mini séries de même pas deux minutes diffusées avant le JT de la RTBF durant le mois d’août. À prendre tous les jours comme capsules de rire pour guérir du racisme et des préjugés. Explications de quelques humoristes auteurs de ces séries, sollicités par le CIRé et le CBAI.
Radios des diversités, diversité des radios
Edgar Szoc
Le monopole public des fréquences modulées (FM) a été cassé à la fin des années 1970 par le mouvement des radios libres. Mais un glissement s’est opéré dans les années 1980 et 1990, voyant ces fréquences associatives rachetées par des radios commerciales, lesquelles n’ont cessé de se développer en réseaux, tout en se concentrant dans les mains de quelques groupes financiers. Après la saga scientifico-politico-financière, traduisant les rapports de force entre État, entreprises et dynamiques associatives, le Plan de fréquence enfin conclu permet-il d’assurer la diversité culturelle, le pluralisme et la promotion de la pensée critique ?
À l’école du journalisme européen de proximité
Marc Sinnaeve
Micro-Europa… Cette initiative de radios-écoles partenaires préfigure-t-elle le futur journalisme européen en réseau ? C’est en tout cas l’ambition : préparer une nouvelle génération de journalistes qui aient à cœur de traiter l’information sur les enjeux européens à partir des besoins en information des citoyens là où ils vivent, travaillent ou étudient. C’est l’Europe des villes, des villages et des régions reliés par ce qu’ils ont de commun et de différent : l’Europe écoutée à l’horizontale. Mais aussi l’Europe d’en haut vécue en bas, et l’Europe d’en bas qui se fait entendre en haut !
Les 20 ans de / à Bruxelles
La Région Bruxelles-Capitale a vingt ans cette année. Jeune Région ! Internationale, européenne, multiculturelle. Interculturelle en devenir… ? avec ses 46,5 % de Bruxellois de nationalité ou d’origine étrangère.
Le CBAI a choisi de marquer ce vingtième anniversaire de sa griffe, en publiant deux articles sur les jeunesses urbaines -une façon de souligner que la population bruxelloise est plus jeune que dans les deux autres Régions du pays.
Le charme discret de la reproduction sociale
Pierre Marissal, géographe à l’ULB-IGEAT (Institut de gestion de l’environnement et d’aménagement du territoire) analyse les conditions de vie des jeunesses bruxelloises à l’échelle des heurts et malheurs des rapports sociaux. Passant de courbes en pyramides, il illustre et commente les inégalités sociales entre les quartiers de Bruxelles.
Plaidoyer pour la « double expertise »
Ngyess Lazalo Ndoma & Mireille Robert
De juillet 2008 à mai 2009, six morts. Six jeunes d’origine africaine. Ils s’entretuent entre groupes ennemis dans les rues de Bruxelles. Qui sont-ils ? Ni enfants soldats ni bandes urbaines, ce sont des jeunes en difficulté auxquels les pouvoirs publics ne savent pas répondre. L’observatoire Ba YaYa dénonce : les politiques de cohésion sociale tournent en rond et la situation ne fait que s’aggraver. Il est temps de tenir compte des appartenances culturelles plurielles.
(Source : http://www.cbai.be - Consulté le 01/04/2010)
En ligne : http://www.cbai.be/?pageid=57&idrevue=146 Réservation
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