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Rallumer la télévision - 10 propositions pour faire rayonner l’audiovisuel français / Xavier Couture ; Michel Rasle ; Benjamin Grange ; Natalie Rastoin ; Thierry Jadot ; Morgane Weill
Titre : Rallumer la télévision - 10 propositions pour faire rayonner l’audiovisuel français Type de document : document électronique Auteurs : Xavier Couture, Auteur ; Michel Rasle, Auteur ; Benjamin Grange, Auteur ; Natalie Rastoin, Auteur ; Thierry Jadot, Auteur ; Morgane Weill, Auteur Editeur : Paris : Institut Montaigne Année de publication : 2015 Importance : 86 p. Note générale : "L’âge d’or de la télévision française est désormais révolu, bousculé par deux forces qui affaiblissent irrésistiblement la diffusion de la culture française : la compétition mondiale entre les œuvres audiovisuelles, notamment les séries, et la démultiplication des canaux de diffusion du fait du rôle croissant d’Internet. Ce rapport formule dix propositions pour permettre au secteur audiovisuel français de rayonner en France comme sur les marchés internationaux."
Source : http://www.institutmontaigne.org (Consulté le 04/03/2015)Langues : Français Catégories : MEDIAS:AUDIOVISUEL: TELEVISION: Aspect économique
MEDIAS:AUDIOVISUEL: TELEVISION: Aspect socio-culturelTags : France audiovisuel télévision aspect économique programmation format contenu statistiques audience vidéo à la demande non linéaire historique TNT financement concurrence régulation législation aide publicité culture Index. décimale : 791.45 Télévision (Loisir) Résumé : "(...) ’Institut Montaigne formule dix propositions pour améliorer la créativité du secteur, faire rayonner l’excellence culturelle et créer des champions nationaux de l’audiovisuel. Ces
propositions impliquent à la fois de rompre avec la hiérarchie culturelle française, de libérer l’innovation, de cibler les priorités stratégiques du secteur, de renforcer notre image et notre force de frappe à l’international et de consolider le secteur, afin qu’il soit plus robuste et à même de mener des projets innovants et risqués, au service de notre excellence culturelle."
(p.5 du rapport)Note de contenu : SOMMAIRE :
1. L’AGE D’OR DE LA PRODUCTION FRANÇAISE A CONDUIT A UN MONDE FERME
1.1.- La globalisation des usages et des œuvres déstabilise le secteur face à l’évolution des attentes du public
1.1.1.- Les Français sont sortis du confinement national pour s’ouvrir aux standards de production mondiaux
1.1.2. - Les usages des Français ont évolué à la faveur de l’offre croissante de supports
1.2. - L’international a longtemps été négligé par le secteur de la production audiovisuelle, replié sur des rentes à l’échelle nationale
1.2.1. - Le secteur de la production audiovisuelle française était
jusqu’en 2005 suffisamment lucratif pour permettre aux acteurs de ne se concentrer que sur la France
1.2.2. - La rente dont ont bénéficié les diffuseurs et les producteurs les a freinés
quant à l’alignement des œuvres sur les standards internationaux
1.2.3. - L’international est un moyen de préserver l’exception française en garantissant son rayonnement et son financement
1.2.4. - Diffuseurs et producteurs ne se sont pas organisés pour distribuer à
l’international mais se disputent les mandats à l’export
1.2.5. - La promotion institutionnelle des œuvres françaises à l’export ne se révèle pas efficace
1.3. - La France est faiblement compétitive à l’export
1.3.1. - La production française n’est pas compétitive à l’export
1.3.2. - Outre les freins liés à son manque d’ouverture, la France ne dispose pas de tous les atouts d’une puissance audiovisuelle
1.3.3. - Le financement se raréfie alors qu’il est de plus en plus déterminant pour produire des œuvres de qualité exportables
2. LA CRÉATION AUDIOVISUELLE FRANÇAISE SOUFFRE D’UN CONSERVATISME CULTUREL ET INSTITUTIONNEL
2.1.- Le partage de la valeur entre les producteurs et les diffuseurs a alimenté une relation conflictuelle aux dépens des œuvres
2.1.1. - Jusqu'à maintenant, les diffuseurs ne sont pas détenteurs des droits par principe au-delà de la période d’exclusivité
2.1.2. - Les producteurs, soutenus par le CNC, ne sont pas incités à avoir une stratégie de diversification des financements qui les inciterait à innover
2.1.3.- La relation conflictuelle entre les producteurs et les diffuseurs dessert la qualité finale de l’œuvre
2.2. - La réglementation a échoué à entraîner les diffuseurs vers une production originale innovante
2.2.1. - La production française est soutenue à hauteur de 264M€ en 2013 par le CNC
2.2.2. - La réglementation n’a pas été un levier d’innovation
2.2.3. - Des diffuseurs trop souvent averses au risque du fait notamment de leur modèle économique
2.2.4. - France Télévisions, qui représente 50% de la production, devrait assumer davantage un rôle de locomotive de l’innovation
2.3. - Les producteurs bénéficient d’une rente de situation liée au cadre réglementaire
2.3.1. - Les obligations de production constituent une manne automatique qui désincitent à l’innovation et à l’export
2.3.2. - Le secteur de la production est insuffisamment consolidé
2.4. - Des freins culturels forts sont des freins à l’innovation
2.4.1. - La hiérarchie culturelle française élitiste ne correspond pas à la demande du marché
2.4.2. - Les soutiens publics sont conditionnés par cette hiérarchie culturelle
2.4.3. - Le prestige de la production audiovisuelle n’est pas suffisant pour
concurrencer le cinéma
2.4.4. - La notion d’œuvre peut être problématique pour encourager l’écriture collective
2.4.5. - L’absence de renouvellement des professionnels du secteur fragilise le processus d’innovation
2.5. - Le digital n’a pas transformé le secteur audiovisuel français
2.5.1. - Les diffuseurs généralistes n’utilisent pas les opportunités du numérique pour innover
2.5.2. - Les outils de délinéarisation ne sont pas au niveau des attentes
2.5.3. - Les plateformes gratuites ne sont pas intégrées à la réflexion sur la diffusion
2.5.4. - Les aides du CNC en faveur du numérique sont marginales
3. NOS PROPOSITIONS
REMERCIEMENTS
En ligne : http://www.institutmontaigne.org/fr/publications/rallumer-la-television-10-propo [...] Rallumer la télévision - 10 propositions pour faire rayonner l’audiovisuel français [document électronique] / Xavier Couture, Auteur ; Michel Rasle, Auteur ; Benjamin Grange, Auteur ; Natalie Rastoin, Auteur ; Thierry Jadot, Auteur ; Morgane Weill, Auteur . - Paris (59 Rue La Boétie, 75006) : Institut Montaigne, 2015 . - 86 p.
"L’âge d’or de la télévision française est désormais révolu, bousculé par deux forces qui affaiblissent irrésistiblement la diffusion de la culture française : la compétition mondiale entre les œuvres audiovisuelles, notamment les séries, et la démultiplication des canaux de diffusion du fait du rôle croissant d’Internet. Ce rapport formule dix propositions pour permettre au secteur audiovisuel français de rayonner en France comme sur les marchés internationaux."
Source : http://www.institutmontaigne.org (Consulté le 04/03/2015)
Langues : Français
Catégories : MEDIAS:AUDIOVISUEL: TELEVISION: Aspect économique
MEDIAS:AUDIOVISUEL: TELEVISION: Aspect socio-culturelTags : France audiovisuel télévision aspect économique programmation format contenu statistiques audience vidéo à la demande non linéaire historique TNT financement concurrence régulation législation aide publicité culture Index. décimale : 791.45 Télévision (Loisir) Résumé : "(...) ’Institut Montaigne formule dix propositions pour améliorer la créativité du secteur, faire rayonner l’excellence culturelle et créer des champions nationaux de l’audiovisuel. Ces
propositions impliquent à la fois de rompre avec la hiérarchie culturelle française, de libérer l’innovation, de cibler les priorités stratégiques du secteur, de renforcer notre image et notre force de frappe à l’international et de consolider le secteur, afin qu’il soit plus robuste et à même de mener des projets innovants et risqués, au service de notre excellence culturelle."
(p.5 du rapport)Note de contenu : SOMMAIRE :
1. L’AGE D’OR DE LA PRODUCTION FRANÇAISE A CONDUIT A UN MONDE FERME
1.1.- La globalisation des usages et des œuvres déstabilise le secteur face à l’évolution des attentes du public
1.1.1.- Les Français sont sortis du confinement national pour s’ouvrir aux standards de production mondiaux
1.1.2. - Les usages des Français ont évolué à la faveur de l’offre croissante de supports
1.2. - L’international a longtemps été négligé par le secteur de la production audiovisuelle, replié sur des rentes à l’échelle nationale
1.2.1. - Le secteur de la production audiovisuelle française était
jusqu’en 2005 suffisamment lucratif pour permettre aux acteurs de ne se concentrer que sur la France
1.2.2. - La rente dont ont bénéficié les diffuseurs et les producteurs les a freinés
quant à l’alignement des œuvres sur les standards internationaux
1.2.3. - L’international est un moyen de préserver l’exception française en garantissant son rayonnement et son financement
1.2.4. - Diffuseurs et producteurs ne se sont pas organisés pour distribuer à
l’international mais se disputent les mandats à l’export
1.2.5. - La promotion institutionnelle des œuvres françaises à l’export ne se révèle pas efficace
1.3. - La France est faiblement compétitive à l’export
1.3.1. - La production française n’est pas compétitive à l’export
1.3.2. - Outre les freins liés à son manque d’ouverture, la France ne dispose pas de tous les atouts d’une puissance audiovisuelle
1.3.3. - Le financement se raréfie alors qu’il est de plus en plus déterminant pour produire des œuvres de qualité exportables
2. LA CRÉATION AUDIOVISUELLE FRANÇAISE SOUFFRE D’UN CONSERVATISME CULTUREL ET INSTITUTIONNEL
2.1.- Le partage de la valeur entre les producteurs et les diffuseurs a alimenté une relation conflictuelle aux dépens des œuvres
2.1.1. - Jusqu'à maintenant, les diffuseurs ne sont pas détenteurs des droits par principe au-delà de la période d’exclusivité
2.1.2. - Les producteurs, soutenus par le CNC, ne sont pas incités à avoir une stratégie de diversification des financements qui les inciterait à innover
2.1.3.- La relation conflictuelle entre les producteurs et les diffuseurs dessert la qualité finale de l’œuvre
2.2. - La réglementation a échoué à entraîner les diffuseurs vers une production originale innovante
2.2.1. - La production française est soutenue à hauteur de 264M€ en 2013 par le CNC
2.2.2. - La réglementation n’a pas été un levier d’innovation
2.2.3. - Des diffuseurs trop souvent averses au risque du fait notamment de leur modèle économique
2.2.4. - France Télévisions, qui représente 50% de la production, devrait assumer davantage un rôle de locomotive de l’innovation
2.3. - Les producteurs bénéficient d’une rente de situation liée au cadre réglementaire
2.3.1. - Les obligations de production constituent une manne automatique qui désincitent à l’innovation et à l’export
2.3.2. - Le secteur de la production est insuffisamment consolidé
2.4. - Des freins culturels forts sont des freins à l’innovation
2.4.1. - La hiérarchie culturelle française élitiste ne correspond pas à la demande du marché
2.4.2. - Les soutiens publics sont conditionnés par cette hiérarchie culturelle
2.4.3. - Le prestige de la production audiovisuelle n’est pas suffisant pour
concurrencer le cinéma
2.4.4. - La notion d’œuvre peut être problématique pour encourager l’écriture collective
2.4.5. - L’absence de renouvellement des professionnels du secteur fragilise le processus d’innovation
2.5. - Le digital n’a pas transformé le secteur audiovisuel français
2.5.1. - Les diffuseurs généralistes n’utilisent pas les opportunités du numérique pour innover
2.5.2. - Les outils de délinéarisation ne sont pas au niveau des attentes
2.5.3. - Les plateformes gratuites ne sont pas intégrées à la réflexion sur la diffusion
2.5.4. - Les aides du CNC en faveur du numérique sont marginales
3. NOS PROPOSITIONS
REMERCIEMENTS
En ligne : http://www.institutmontaigne.org/fr/publications/rallumer-la-television-10-propo [...]