[n° ou bulletin] Titre : | Iris Spécial - Janvier 2014 - La vidéo à la demande et la promotion des oeuvres européennes | Type de document : | texte imprimé | Année de publication : | 2014 | Format : | 29.5 | Note générale : | Exemplaires en anglais, allemand. | Langues : | Anglais Français Allemand | Catégories : | MEDIAS:AUDIOVISUEL:NUMERIQUE: Aspect économique MEDIAS:AUDIOVISUEL:NUMERIQUE: Aspect socio-culturel
| Tags : | audiovisuel aspect économique régulation convergence concurrence télévision connectée vidéo à la demande Union Européenne must-carry neutralité du net transparence opérateurs Italie Slovaquie France Pays-Bas Belgique étude | Note de contenu : | " Plus que jamais, les films et les programmes de télévision européens se battent pour capter des parts de marché face à l'assaut de contenus à succès originaires, notamment, des Etats-Unis. La progression du marché du contenu à la demande signifie qu'il existe désormais, potentiellement, un nouveau canal pour la promotion des œuvres européennes par l'intermédiaire des différents services à la demande. Mais comment l'Europe a-t-elle intégré ces services à la demande et leur potentiel dans sa législation ? L'Observatoire européen de l'audiovisuel vient de publier un nouveau rapport détaillé IRIS Spécial qui pose précisément cette question.
Le premier chapitre, intitulé "Les obligations de promotion imposées aux services de médias audiovisuels à la demande dans des pays sélectionnés", se concentre sur les différentes mesures juridiques, telles que contributions financières obligatoires des fournisseurs de services, quotas selon la nationalité ou la langue, ou exigences de mise en valeur en termes de disposition et de présentation du contenu, qui visent à promouvoir les œuvres à la demande dans 5 pays (Italie, Slovaquie, France, Pays-Bas et Belgique). Ces différentes approches nationales semblent différer les unes des autres de manière significative.
Le chapitre suivant - Analyse critique des principales hypothèses qui sous-tendent la promotion des œuvres européennes dans les services à la demande - jette un regard critique sur les mesures juridiques actuelles visant à stimuler les œuvres européennes par l'intermédiaire des services à la demande. Ce chapitre propose une analyse approfondie des comportements des consommateurs en s'appuyant sur l'exemple des Pays-Bas. Dans ce contexte, les règles du jeu peuvent ne pas être équitables du fait de distributeurs de VoD non-européens, par exemple Netflix et Google, qui implantent leur siège dans des pays tels que le Luxembourg, le Royaume-Uni, la République tchèque et la Suède. Le rapport souligne la possible distorsion de la concurrence causée par « la présence de concurrents étrangers moins régulés » sur le marché européen de la VoD.
Le dernier chapitre est un résumé utile de l'Atelier sur la promotion des œuvres européennes dans les services de médias audiovisuels organisé par l'Observatoire au printemps dernier à Amsterdam. Cet atelier, qui constitue la base de ce rapport, a réuni les organisations partenaires de l'Observatoire ainsi qu'une douzaine d'experts juridiques et de l'industrie reconnus dans le domaine de la VoD."
Source : http://www.obs.coe.int (consulté le 13/02/2014) | En ligne : | http://www.obs.coe.int/fr/publications/2013/-/asset_publisher/Ec9yEURlzeeg/conte [...] |
[n° ou bulletin] Iris Spécial - Janvier 2014 - La vidéo à la demande et la promotion des oeuvres européennes [texte imprimé] . - 2014 . - ; 29.5. Exemplaires en anglais, allemand. Langues : Anglais Français Allemand Catégories : | MEDIAS:AUDIOVISUEL:NUMERIQUE: Aspect économique MEDIAS:AUDIOVISUEL:NUMERIQUE: Aspect socio-culturel
| Tags : | audiovisuel aspect économique régulation convergence concurrence télévision connectée vidéo à la demande Union Européenne must-carry neutralité du net transparence opérateurs Italie Slovaquie France Pays-Bas Belgique étude | Note de contenu : | " Plus que jamais, les films et les programmes de télévision européens se battent pour capter des parts de marché face à l'assaut de contenus à succès originaires, notamment, des Etats-Unis. La progression du marché du contenu à la demande signifie qu'il existe désormais, potentiellement, un nouveau canal pour la promotion des œuvres européennes par l'intermédiaire des différents services à la demande. Mais comment l'Europe a-t-elle intégré ces services à la demande et leur potentiel dans sa législation ? L'Observatoire européen de l'audiovisuel vient de publier un nouveau rapport détaillé IRIS Spécial qui pose précisément cette question.
Le premier chapitre, intitulé "Les obligations de promotion imposées aux services de médias audiovisuels à la demande dans des pays sélectionnés", se concentre sur les différentes mesures juridiques, telles que contributions financières obligatoires des fournisseurs de services, quotas selon la nationalité ou la langue, ou exigences de mise en valeur en termes de disposition et de présentation du contenu, qui visent à promouvoir les œuvres à la demande dans 5 pays (Italie, Slovaquie, France, Pays-Bas et Belgique). Ces différentes approches nationales semblent différer les unes des autres de manière significative.
Le chapitre suivant - Analyse critique des principales hypothèses qui sous-tendent la promotion des œuvres européennes dans les services à la demande - jette un regard critique sur les mesures juridiques actuelles visant à stimuler les œuvres européennes par l'intermédiaire des services à la demande. Ce chapitre propose une analyse approfondie des comportements des consommateurs en s'appuyant sur l'exemple des Pays-Bas. Dans ce contexte, les règles du jeu peuvent ne pas être équitables du fait de distributeurs de VoD non-européens, par exemple Netflix et Google, qui implantent leur siège dans des pays tels que le Luxembourg, le Royaume-Uni, la République tchèque et la Suède. Le rapport souligne la possible distorsion de la concurrence causée par « la présence de concurrents étrangers moins régulés » sur le marché européen de la VoD.
Le dernier chapitre est un résumé utile de l'Atelier sur la promotion des œuvres européennes dans les services de médias audiovisuels organisé par l'Observatoire au printemps dernier à Amsterdam. Cet atelier, qui constitue la base de ce rapport, a réuni les organisations partenaires de l'Observatoire ainsi qu'une douzaine d'experts juridiques et de l'industrie reconnus dans le domaine de la VoD."
Source : http://www.obs.coe.int (consulté le 13/02/2014) | En ligne : | http://www.obs.coe.int/fr/publications/2013/-/asset_publisher/Ec9yEURlzeeg/conte [...] |
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