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Titre : La démocratie télé-guidée Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Marie Cotteret, Auteur Editeur : Paris [France] : Editions Michalon Année de publication : 2006 Importance : 134 p. Format : 21cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-84186-292-4 Prix : 12,35€ Note générale : Jean-Marie Cotteret est professeur émérite à l'université Paris I Panthéon-Sorbonne. Ancien membre du Conseil supérieur de l'audio-visuel, il siège aujourd'hui à la Commission nationale informatique et liberté.
Catégories : MEDIAS: COMMUNICATION & JOURNALISME - Aspects généraux
MEDIAS:AUDIOVISUEL: TELEVISION: Programmes / ContenuTags : politique démocratie médias communication manipulation discours temps de parole émotion pluralisme Index. décimale : 302.23 Media Résumé : "Voici trente ans, la télévision était accueillie comme une révolution censée faciliter le fonctionnement de la démocratie. On allait rapprocher le citoyen de l’homme politique, c’était le grand espoir des années 70.
On commence aujourd’hui à s’apercevoir que malgré (ou à cause) du foisonnement des médias audiovisuels, la politique est réduite à la portion congrue de la petit phrase, du discours minute et de la belle gueule qui passe bien. La télévision n’est évidemment pas le seul facteur de cette déliquescence, mais elle est essentielle - dans une société de communication, elle constitue l’intermédiaire privilégié entre les citoyens et leurs représentants et, de fait, l’écran conditionne le téléspectateur-citoyen tout au long de l’année.
La légitimation du pouvoir passe désormais par le canal cathodique, où triomphe l’homme politique sitcom qui sait se servir de cet outil et produire le seul discours audible à la télévision : court ou plus exactement simpliste (alors que les enjeux sont a priori déterminant) et émotionnel, souvent au détriment de la raison.
Le Parlement, émanation du peuple, est marginalisé et supplanté par une nouvelle source de légitimation, ni règlementée ni populaire. Le citoyen et ses représentants se retrouvent dépendants d’un même écran, l’un devant, les autres dedans. Prémices d’une nouvelle ère démocratique périlleuse : celle de la télé-tyrannie.
Un essai stimulant d’un téléphage, ancien membre du CSA, qui voudrait clarifier les règles du jeu."
(Présentation sur le site de l'éditeur : http://www.michalon.fr )
Note de contenu : Table des matières:
LES DEUX SOURCES DE LA LEGITIMITE POLITIQUE
La légitimité électorale
La légitimité cathodique
TEMPS AUDIOVISUEL ET TEMPS POLITIQUE
Le temps et la télévision : durée et instant
La société du " tout, tout de suite "
L'urgence : de l'action à la réaction
L'intérêt général fragilisé par l'instant
Le temps présent dans le discours des hommes politiques
LA REGULATION DU TEMPS A LA TELEVISION
Le pluralisme et l'exercice du pouvoir
Le pluralisme et la conquête du pouvoir
La cohabitation entre légitimité électorale et légitimité cathodique
L'EMOTION
L'émotion et l'image
L'émotion et la parole
LA PARAPHRASE DU VRAI
Vrai/vraisemblable - Honnêteté/exactitude
Comment transformer le vraisemblable en vrai
En ligne : http://www.michalon.fr La démocratie télé-guidée [texte imprimé] / Jean-Marie Cotteret, Auteur . - Paris (14, rue Monsieur Le Prince, 75006, France) : Editions Michalon, 2006 . - 134 p. ; 21cm.
ISBN : 978-2-84186-292-4 : 12,35€
Jean-Marie Cotteret est professeur émérite à l'université Paris I Panthéon-Sorbonne. Ancien membre du Conseil supérieur de l'audio-visuel, il siège aujourd'hui à la Commission nationale informatique et liberté.
Catégories : MEDIAS: COMMUNICATION & JOURNALISME - Aspects généraux
MEDIAS:AUDIOVISUEL: TELEVISION: Programmes / ContenuTags : politique démocratie médias communication manipulation discours temps de parole émotion pluralisme Index. décimale : 302.23 Media Résumé : "Voici trente ans, la télévision était accueillie comme une révolution censée faciliter le fonctionnement de la démocratie. On allait rapprocher le citoyen de l’homme politique, c’était le grand espoir des années 70.
On commence aujourd’hui à s’apercevoir que malgré (ou à cause) du foisonnement des médias audiovisuels, la politique est réduite à la portion congrue de la petit phrase, du discours minute et de la belle gueule qui passe bien. La télévision n’est évidemment pas le seul facteur de cette déliquescence, mais elle est essentielle - dans une société de communication, elle constitue l’intermédiaire privilégié entre les citoyens et leurs représentants et, de fait, l’écran conditionne le téléspectateur-citoyen tout au long de l’année.
La légitimation du pouvoir passe désormais par le canal cathodique, où triomphe l’homme politique sitcom qui sait se servir de cet outil et produire le seul discours audible à la télévision : court ou plus exactement simpliste (alors que les enjeux sont a priori déterminant) et émotionnel, souvent au détriment de la raison.
Le Parlement, émanation du peuple, est marginalisé et supplanté par une nouvelle source de légitimation, ni règlementée ni populaire. Le citoyen et ses représentants se retrouvent dépendants d’un même écran, l’un devant, les autres dedans. Prémices d’une nouvelle ère démocratique périlleuse : celle de la télé-tyrannie.
Un essai stimulant d’un téléphage, ancien membre du CSA, qui voudrait clarifier les règles du jeu."
(Présentation sur le site de l'éditeur : http://www.michalon.fr )
Note de contenu : Table des matières:
LES DEUX SOURCES DE LA LEGITIMITE POLITIQUE
La légitimité électorale
La légitimité cathodique
TEMPS AUDIOVISUEL ET TEMPS POLITIQUE
Le temps et la télévision : durée et instant
La société du " tout, tout de suite "
L'urgence : de l'action à la réaction
L'intérêt général fragilisé par l'instant
Le temps présent dans le discours des hommes politiques
LA REGULATION DU TEMPS A LA TELEVISION
Le pluralisme et l'exercice du pouvoir
Le pluralisme et la conquête du pouvoir
La cohabitation entre légitimité électorale et légitimité cathodique
L'EMOTION
L'émotion et l'image
L'émotion et la parole
LA PARAPHRASE DU VRAI
Vrai/vraisemblable - Honnêteté/exactitude
Comment transformer le vraisemblable en vrai
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 1000163 6 COT DEM Livre Bibliothèque Documentaires Disponible
Titre : Le grand bazar de l'info : Pour en finir avec le maljournalisme Type de document : texte imprimé Auteurs : Yves Agnès, Auteur Editeur : Paris [France] : Editions Michalon Année de publication : 2005 Importance : 232 p. Format : 21 cm ISBN/ISSN/EAN : 2-84186-288-7 Prix : 17€ Catégories : MEDIAS: COMMUNICATION & JOURNALISME - Aspects généraux Tags : journalisme information manipulation Index. décimale : 070.4 Journalisme Résumé : Informations fausses, biaisées, purement promotionnelles, " pipolisées ", minimisées ou sur-valorisées... Les " bavures " sont quotidiennes dans les journaux, à la radio, à la télévision, sur Internet. De la petite erreur qui agace aux tromperies caractérisées qui révoltent, l'info est à la dérive. Elle est devenue une simple marchandise, un spectacle permanent, une course à l'audience au mépris du public. Depuis une vingtaine d'années, la malinformation a pris une ampleur considérable, entamant sérieusement la confiance envers les journalistes et les médias. Désormais, on leur demande des comptes. Car une bonne information est nécessaire au bon fonctionnement de la démocratie. Yves Agnès montre l'ampleur des dégâts et en analyse les principales causes. Il propose aussi des solutions, qui passent par le réveil des citoyens, des responsables politiques et des journalistes.
(Présentation de l'éditeur)
En ligne : www.michalon.fr Le grand bazar de l'info : Pour en finir avec le maljournalisme [texte imprimé] / Yves Agnès, Auteur . - Paris (14, rue Monsieur Le Prince, 75006, France) : Editions Michalon, 2005 . - 232 p. ; 21 cm.
ISBN : 2-84186-288-7 : 17€
Catégories : MEDIAS: COMMUNICATION & JOURNALISME - Aspects généraux Tags : journalisme information manipulation Index. décimale : 070.4 Journalisme Résumé : Informations fausses, biaisées, purement promotionnelles, " pipolisées ", minimisées ou sur-valorisées... Les " bavures " sont quotidiennes dans les journaux, à la radio, à la télévision, sur Internet. De la petite erreur qui agace aux tromperies caractérisées qui révoltent, l'info est à la dérive. Elle est devenue une simple marchandise, un spectacle permanent, une course à l'audience au mépris du public. Depuis une vingtaine d'années, la malinformation a pris une ampleur considérable, entamant sérieusement la confiance envers les journalistes et les médias. Désormais, on leur demande des comptes. Car une bonne information est nécessaire au bon fonctionnement de la démocratie. Yves Agnès montre l'ampleur des dégâts et en analyse les principales causes. Il propose aussi des solutions, qui passent par le réveil des citoyens, des responsables politiques et des journalistes.
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 1000197 6 AGN GRA Livre Bibliothèque Documentaires Disponible
Titre : Le droit peut-il ignorer la révolution numérique ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Marie-Charlotte Roques-Bonnet, Auteur Editeur : Paris [France] : Editions Michalon Importance : 608 p Format : 24 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-84186-553-6 Langues : Français Catégories : DROIT : Droit international : Internet
MEDIAS:AUDIOVISUEL:NUMERIQUETags : nouveaux médias droit France numérique droit des médias Index. décimale : 340 Droit Note de contenu : "Il y a quelques années, deux décennies tout au plus, les internautes se comptaient en milliers. Au mois de décembre 2009, 68% des Français de plus de 15 ans déclaraient utiliser le réseau Internet et parmi eux, quatre ou cinq, au moins une fois par jour. Assurément, Internet est devenu le support privilégié de nos activités quotidiennes et, véritable révolution institutionnelle, il modifie l’exercice de nos droits.
Après les élections législatives et présidentielles de 2007, puis les élections cantonales et municipales de 2008, les pouvoirs publics l’ont bien compris : sondages, sites des candidats et des élus politiques, font aujourd’hui de l’environnement numérique un espace d’expression publique. Dépassant l’enjeu électoral, le réseau modernise et réorganise les institutions de la République. dématérialisée, désintermédiée, l’action administrative se restructure aussi autour du citoyen-internaute au risque de faire de la fracture numérique une fracture politique, sociale, et démocratique.
Certes, l’espace numérique est un espace de droit comme les autres. Mais plus que les autres, il rappelle les limites de notre système de droit, et notamment du bloc de constitutionnalité, en réorganisant le travail de nos institutions, l’exercice de nos droits et la production de nos normes en réseau. Face à la révolution numérique, les droits de l’individu, en tant qu’administré, qu’électeur et que citoyen, doivent être protégés. La reconnaissance de ses droits dans l’environnement numérique devrait donner lieu à la définition de nouveaux droits, qui pourraient être de valeur constitutionnelle, identifiant ainsi ce qu’est le droit du développement numérique."
Source : http://www.michalon.fr/Le-droit-peut-il-ignorer-la.html (consulté le 28/01/2014)En ligne : http://www.michalon.fr/Le-droit-peut-il-ignorer-la.html Le droit peut-il ignorer la révolution numérique ? [texte imprimé] / Marie-Charlotte Roques-Bonnet, Auteur . - Paris (14, rue Monsieur Le Prince, 75006, France) : Editions Michalon, [s.d.] . - 608 p ; 24 cm.
ISBN : 978-2-84186-553-6
Langues : Français
Catégories : DROIT : Droit international : Internet
MEDIAS:AUDIOVISUEL:NUMERIQUETags : nouveaux médias droit France numérique droit des médias Index. décimale : 340 Droit Note de contenu : "Il y a quelques années, deux décennies tout au plus, les internautes se comptaient en milliers. Au mois de décembre 2009, 68% des Français de plus de 15 ans déclaraient utiliser le réseau Internet et parmi eux, quatre ou cinq, au moins une fois par jour. Assurément, Internet est devenu le support privilégié de nos activités quotidiennes et, véritable révolution institutionnelle, il modifie l’exercice de nos droits.
Après les élections législatives et présidentielles de 2007, puis les élections cantonales et municipales de 2008, les pouvoirs publics l’ont bien compris : sondages, sites des candidats et des élus politiques, font aujourd’hui de l’environnement numérique un espace d’expression publique. Dépassant l’enjeu électoral, le réseau modernise et réorganise les institutions de la République. dématérialisée, désintermédiée, l’action administrative se restructure aussi autour du citoyen-internaute au risque de faire de la fracture numérique une fracture politique, sociale, et démocratique.
Certes, l’espace numérique est un espace de droit comme les autres. Mais plus que les autres, il rappelle les limites de notre système de droit, et notamment du bloc de constitutionnalité, en réorganisant le travail de nos institutions, l’exercice de nos droits et la production de nos normes en réseau. Face à la révolution numérique, les droits de l’individu, en tant qu’administré, qu’électeur et que citoyen, doivent être protégés. La reconnaissance de ses droits dans l’environnement numérique devrait donner lieu à la définition de nouveaux droits, qui pourraient être de valeur constitutionnelle, identifiant ainsi ce qu’est le droit du développement numérique."
Source : http://www.michalon.fr/Le-droit-peut-il-ignorer-la.html (consulté le 28/01/2014)En ligne : http://www.michalon.fr/Le-droit-peut-il-ignorer-la.html Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 1003800 5 ROQ DRO Livre Bibliothèque Documentaires Disponible